La future politique agricole 2014-2017, c’est un vrai débat de société !

Au moment où le pays entre en transe électorale, un dossier stratégique, la Politique Agricole (PA) 2014-2017 sera l’objet de toutes les attentions lors de la prochaine législature.

Politique Agricole

Dans le débat de la nouvelle politique agricole, des centaines de postes de travail sont en jeu

En effet, dans le monde entier, l’urgence est à la revalorisation de l’agriculture dans ses fonctions productrices. L’augmentation régulière de la population mondiale, la raréfaction des terres cultivables et des ressources hydriques et surtout le changement des habitudes alimentaires du fait de la hausse du niveau de vie dans les pays émergents entraînent une diminution continue des stocks mondiaux de céréales. Ainsi l’Organisation mondiale pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) prévoit que la production mondiale de viande augmentera chaque année de 5 millions de tonnes ce qui correspond à 12 fois la production annuelle suisse !! Ainsi, la Chine produit déjà autant de viande que l’UE et les USA réunis ! Et l’Inde suit la même tendance.

notre pays se singularise en prenant systématiquement le contrepied de ce que la communauté internationale entreprend

On peut ergoter sur le côté éthique de la chose mais le constat est implacable. A cela s’ajoutent des accidents climatiques dans des pays exportateurs de céréales (sécheresse persistante, inondations etc.). Ces faits augmentent l’instabilité sur les marchés internationaux des denrées alimentaires et poussent les prix à la hausse. Ce sombre tableau a pour conséquences que le nombre de personnes souffrant de la faim dans le monde est à nouveau en forte progression depuis quelques années.

Face à ces réalités, notre pays se singularise en prenant systématiquement le contrepied de ce que la communauté internationale entreprend. Alors que la Suisse est championne du monde de l’importation nette de denrées alimentaires, elle continue à axer sa future politique agricole sur une dépendance toujours plus importante envers l’étranger. En d’autres termes, la fonction productrice du secteur agricole suisse s’affaiblit inexorablement au profit d’une extensification toujours plus poussée alors que le pays consacre déjà 7% de sa surface agricole utile à diverses mesures indispensables en relation avec la protection des eaux, des animaux et de l’environnement en général.

Cette dérive apparaît crûment dans le projet du Conseil fédéral sous la dénomination pudique de « contributions à l’adaptation » sensées disparaître à terme. Jusqu’ici, des prix dumping et des excédents de production sur le marché mondial additionnés à la force de notre pouvoir d’achat nous ont mis à l’abri de problèmes d’approvisionnement. Or, cela ne sera plus le cas à l’avenir selon des experts internationaux d’envergure et si le pays poursuit cette politique contraire à ses propres intérêts, la facture pourrait bien être salée à terme.

Le grand point positif de PA 2014 sera d’ouvrir un débat national de société dépassant largement les enjeux purement agricoles. Au-delà de la caricature consistant à décréter qu’il suffit de se priver de manger de la viande pour résoudre tous les problèmes, c’est bien l’avenir de toute la filière de mise en valeur de la production alimentaire indigène qui sera débattu publiquement. Les centaines de postes de travail en jeu dans notre pays et la cohérence de notre politique climatique seront au cœur d’un débat passionné à n’en pas douter.

149 commentaires sur «La future politique agricole 2014-2017, c’est un vrai débat de société !»

  • Alfred dit :

    Tiens, ce ne sont pas les migrations qui sont responsables des problèmes de politique agricole ? Avec le récent tout-ménages, j’y aurais pourtant cru …

    • Natalia dit :

      🙂

      • Rolf Schumacher dit :

        Weshalb sollte man nicht auch alle KMUs subventionieren? In Indien kann doch viel billiger produziert werden? Weshalb nicht auch Banken subventionieren, die SVP subventionieren, einfach alles durchsubventionieren, weshalb nicht? Jene die ehrlich und hart als Arbeitnehmer in Fabriken, auf dem Bau, Strassen, Landwirtschaft, Gastgewerbe etc arbeiten sind es, die diese absurden Subventionen mit ihren Steuern bezahlen müssen. Subventionen sind oft ein ganz pervers ungerechtes Spiel. Und eine neoliberal geführte Partei, welche sich für Subventionen einsetzt ist hochschizophren.

  • Marc dit :

    Nous ne voulons pas que la politique agricole extérieure a notre pays viennent balayer les acquis des paysans. Donc chez nous tout est chère. Je vais entrer dans les détails, le beurre source nécessaire est deux fois voir trois fois plus chère chez nous qu’a l’extérieure, l’huile de même, et j’en passe. Alors que les gens de l’extérieure sont aussi nombreux que nou, eux ont des prix correct, nous pas? Pourquoi? Il y a aussi le fait de nos terre qui se raréfient, et aussi le fait que nous devons a quelque part nous auto-suffirent, encore l’effet de guerre? C’est a garder, on ne sait jamais.

  • Bei dieser Gelegenheit sollte endlich eine saubere Subventionierung erzielt werden! Es ist der ganzen Landwirtschaft abträglich, wenn es Leute giebt, welche neben einem normalen Arbeitslohn noch Subventionen für Tierhaltung beziehen, welche sie rein Hobbymässig betreiben.Auch die unverhältnissm. hohe Subventionierung von Grossbetrieben erwecken in der Bevölkerung negative Regungen! Es hat auch genügend von der Agrorechnung bezahlte Kontrolleure die eine Uebernutzung oder Fehlerhafte Nutzung der Böden verhindern sollten, dies wäre für eine positivere Einstellung zur Landwirtschaft sehr wichtig!

  • Die ganze Versorgung mit Lebensmitteln für die Schweiz steht und fällt mit der Energieversorgung.Bereits eine starke Verteuerung des Erdoels könnte die Versorgung in arge Schwierigkeiten bringen.Die elektrische Energie sind wir ja bereits am reduzieren und verteuern.Es ist sehr bedenklich, dass die gescheiten der Schweiz diese Zukunftsaussichten kurzerhand wegstreiten weil sonst Schlussvolgerungen daraus gezogen werden müssten! Noch gäbe es Wege, diese zu benennen wird aber demnächst per Gesetz ver boten.Es lebe der 1. August, Tag der Freiheit!?

    • Realist dit :

      Ich habe nicht gewusst, dass wir Fleisch, Getreide, Obst usw. mit Erdöl undStrom herstellen. Mit Energie gewiss, vor allem mit Sonnenenergie, die reifen lässt was auf den Feldern wächst. Und mit der Arbeitskraft von importierten Erntehelfern….

      • Gabriele Golle dit :

        Fragen Sie mal einen Bauer, wie sein Traktor angetrieben wird….

      • ruth dit :

        Super gescheiter Kommentar. Dank importierten Helfern braucht es weder Landwirtschaftsmaschinen noch Dünger noch Futter noch Wasserleitungen und die frisch geernteten und verpackten Lebensmittel sowie die sich selbst schlachtenden Viecher werden mit fliegenden Teppichen direkt in die Läden transportiert.

      • bart wakker dit :

        @realist: natürlich spielt energie die entscheidende rolle. Ob strom oder öl spielt eigentlich keine rolle (wenn man mehr strom hat kann man diesel/öl sparen damit man es für die landwirtschaftswerkzeuge benützen kann).

        Ohne öl oder strom müsste man alle produktion wieder von hand machen, um noch mal nicht von (synthetische) dünger zu reden. Die produktion würde sofort ein faktor 10 oder mehr tiefer liegen, was einen akuten hungersnot zur folge hätte.

        Deswegen macht versorgunssicherheit via (extrem teuere) subventionen für bauern keinen sinn.

      • Hans dit :

        Landwirtschaftsmaschinen braucht es nicht genauso wenig wie Dünger, Pflanzenschutzmittel usw. Und sowieso das Fleisch kommt aus der Migros, Milch aus dem Tetrapack und Gemüse findet man auf dem Markt. Deswegen braucht man kein Erdöl um Nahrung herzustellen.

      • Andres Michel dit :

        Ganz im Gegenteil, all diese Produkte sind stark von Erdöl und Strom abhängig. Wie sonst sollen Traktoren und Maschinen bereitgestellt, Pestizide und Dünger hergestellt werden und wie sollen Treibhäuser geheizt werden? Der energetische Input an fossiler Energie in der Landwirtschaft entspricht vielfach dem kalorischen Output der Produktion, oder übertrifft diesen sogar. Wir fressen Erdöl – das sollte ihnen klar sein!

        • Andres Michel dit :

          und als kleines Zahlenbespiel: für die Produktion, Transport und Ausbringung von einer Tonne Stickstoffdünger werden rund zwei Tonnen Erdöl gebraucht.

      • Max Demian dit :

        Traktoren, Düngemittel, Pestizide, Transportwege etc – alles Inputs in die Landwirtschaft, die in hohem Massen durch Erdöl getrieben werden.

      • Hans-jörg Stucki dit :

        @ Realist: Die Äcker und Felder müssen bestellt werden. Heute noch mit Traktoren, vor 100 Jahren von Hand oder mit Ochsen oder Pferden. Aber auch die brauchen Energie.

        • Danke allen für die Klarstellungen,von mir hätte es nicht so viel genützt! Realist möchte ich raten sein Pseudonym zu überdenken.

          • Peter Zweig dit :

            Ich schütte in meinen Gemüsegarten kein Erdöl – vielmehr zerstören Erdölprodukte die Lebensmittel. Industrialisierte Lebensmittelproduktion ist dagegen ineffizient und vermindert die Qualität und macht uns abhängig von Rohstoff-Despoten. Interessant ist es zu sehen auf welche Seite sich gewisse SVP-Politiker stellen…

          • F. Bringer dit :

            Abgesehen davon, dass wir insbesondere viel Geld für Mieten, Krankenkassen, Mobilität und Einkommenssteuern und nicht etwa für Brot ausgeben und ein Scheunendach mit CH-Arbeitsplätzen weit mehr Strom produzieren kann, als ein landwirtschaftlicher Betrieb überhaupt verbraucht.

            Tatsächlich benötigt die Landwirtschaft lediglich 1.4% des gesamten CH-Energiebedarfs: http://bit.ly/qgxze5

            Ach ja, ein moderner Mähdrescher (welcher – wenn’s sein muss – prinzipiell auch mit EE-Gas betrieben werden kann) erntet pro Tag die Getreidemenge für 1 Mio Brotlaibe = 5000 Brotlaibe pro Liter Diesel…

  • Andres Michel dit :

    Schön von einem SVPler eine solch differenzierte Sicht zu hören. Jedoch widerspricht es einer liberalen Wirtschaftspolitik, dass die landwirtschaftliche Produktion mit Subventionen preis- und mengenverzerrt wird. Die Schweizer Bauern müssen sich zu einem gewissen Grad dem internationalen Wettbewerb stellen um fortschrittlich zu bleiben und gefordert zu sein – genau gleich wie in jeder anderen Branche. Das hierzu angestrebte Übergangssystem von Direktzahlungen statt Subventionen scheint mir ein guter Ansatz zu sein. an alle: bitte informiert euch mal über dieses System bevor ihr hier schreibt.

    • roger meier dit :

      wieder mal auf die subventionen und die svp aber es kommt die zeit,da wir froh sind,dass es bei uns noch bauern gibt,wenn ich daran denke,was uns das chaotische asylwesen und integrierung kostet,wo sich die linken in hülle und fülle bedienen können,bekomme ich das heulende elend,alles rausgeworfenes steuergeld,da lob ich mir die subventionen für abrackernde bauern

      • Andres Michel dit :

        a) ich bin kein « Linker »
        b) besser keine Themen vermischen die wenig miteinander am Hut haben
        c) selbstverständlich bin ich froh, dass es bei uns noch Bauern gibt. Aber sie sollen mit einem sinnvolleren System gestützt werden als mit Subventionen
        d) wie gesagt, besser zuerst den volkswirtschaftlichen Unterschied zwischen Subventionen und Direktzahlungen nachschlagen. Direktzahlungen haben einen weitaus weniger verzerrenden Effekt auf Marktpreise und produzierte Mengen (siehe Butterberg und Emmentaler-Überproduktion…) und vermögen unsere Bauern ebenfalls zu stützen.

        • Max Demian dit :

          Einverstanden. Wir dürfen aber auch den Schritt wagen, die Landwirtschaftspolitik in den Verteidigungsetat des Landes zu integrieren. Denn, wie Herr Meier richtig gesagt hat, die Zeit wird kommen…. (das wars denn aber auch schon mit der Richtigkeit… 🙂 )

        • Werner Amsler dit :

          @Andreas Michel: Doch Sie sind ein « Linker »! Denn jeder der nicht ein SVPler ist, ist ein Linker oder ein Netter aber vorallem kein Schweizer.

          • Andres Michel dit :

            Ihre Einstellung schockiert mich. Damit entsagen sie jedwelchem integrativen politischen Diskurs und sind auf dem besten Weg zum Faschisten… Ich verurteile niemanden weil er in der SVP ist oder SVP wählt, aber ich möchte, dass man mit ihnen ein anständigen Diskurs führt. Herr Parmelin anerbietet sich hierzu. Sie verweigern sich.

          • Andres Michel dit :

            hoppla, habe gedacht sie seien roger meier. sorry, hab erst jetzt den ironischen unterton in ihrem kommentar bemerkt.

    • Gregor Müller dit :

      Da war doch mal die « Sprache » vom freien Markt.Liberal-das ich nicht lache! Daran zu glauben ist etwa gleichbedeutend, wie an den Weihnachtsmann zu glauben. Leider subventierniert der Staat jahrzehnte lang Bauernbetriebe (zurecht!), nur,wenn dann Land umgezohnt wird, wird privatisiert! Das nennt sich dann liberal…Also,liebe Bauern&Trittbrettfahrer,zum Glück habt Ihr genügend Interessenvertreter im Parlament, damit Ihr von den « gehassten » Steuern (die vor allem andere zahlen..) genügend erhält… Schön wäre eine ehrlichere Diskussion… Marktverzerrung herrscht&Dumping zugunsten d.Finanzlobby

  • Markus Schär dit :

    Das ist der einzige offene Blog zur Seite Schweiz. Zu den 1. August-Reden sind wohl keine Kommentare erwünscht. Es genügt ja, wenn der Tagi den Oberhasser Blocher an die erste Stelle der behandelten Reden gesetzt hat.

  • Astrid Meier dit :

    Deutlich weniger Fleisch zu essen ist aber auf jeden Fall mal ein guter Anfang. Das wird auch der Hausarzt bestätigen. Vielleicht könnte die SVP ja mal dafür sorgen, dass Migranten nur noch 1 mal pro Woche Fleisch verzehren dürfen? Das reicht für die Gesunderhaltung, sie können sich die restlichen Tagen anpassen und ihre Integration mir Verzehr von Käse unter Beweis stellen. Die alten Schweizer bekamen früher auch nicht jeden Tag Fleisch auf den Tisch.

    • Maja dit :

      Der Hausarzt hat eh keine Ahnung von Ernährung. Die Meinungen was richtige und flasche Ernährung ist wechselt alle 10 jahre.

      • Hanspeter Niederer dit :

        Die Meinung zu gesunder Ernährung wechselt aber nur bei den « Fachleuten » alle 10 Jahre, da ihnen der natürliche Instinkt durch zu viel Studium abhanden gekommen ist.

    • Stuker B. dit :

      Dass weniger Fleisch zu essen ein guter Anfang ist, bin ich mit ihnen einverstanden. Doch die restlichen Worte geben mir zu denken, was haben denn die Migranten mit viel Fleisch essen zu tun? Fleisch wird überall, auch in der Schweiz und auch von Schweizern gegessen!

      • Astrid Meier dit :

        Migranten haben nichts mit Fleisch essen zu tun. Aber Migranten haben etwas mit SVP zu tun. Aber ich ergehe mich in Reue, das war ein blöder Witz, wenn endlich mal wieder Einer von der SVP einen ernstzunehmenden Beitrag schreibt.

        Und nach wie vor, es wird zuviel Fleisch verzehrt und das hat gravierende Auswirkungen auch auf die Situation in den Ländern, die uns die Futtermittel liefern, ganz abgesehen davon dass Fleisch durch Massenproduktion nicht qualitativ besser wird.

        • Ich bin natürlich auch der Meinung,dass die Tiere nur mit Hofeigenen, oder wenigstens nur mit inländischen Produkten gefüttert werden sollten, aber da höre ich schon wieder diejenigen aufbegehren, welche nach mehr Effizienz und billigeren Agroprodukten rufen. Wenn wir nicht bereit sind wieder einen grösseren Anteil unseres Einkommens für Lebensmittel auszugeben,auf Kosten jeder Stauteilnahme am Gotthard, müssen wir den  » Fehlbetrag » eben via Steuern bezahlen. Viele Menschen wollen aber nur geniessen und nichts denken!

          • Astrid Meier dit :

            Genau. Der Schweizer spar gerne indem er Billigfleisch in der Euro-Zone einkauft und dann die Schweizer Bauern subventioniert…

  • Sebastian Lisken dit :

    « Einfach kein Fleisch mehr essen » (oder zumindest deutlich weniger) ist alles andere als ein Witz. Es hätte viele positive Auswirkungen: auf die Umwelt, die eigene Gesundheit, das gute Gewissen … und offenbar auch auf die Autonomie der Schweiz im Agrarsektor.

  • Realist dit :

    Passen Sie auf Frau Meier. Ihr Vorschlag ab dem dritten Satz wird von der SVP sicher prämiert. Mit den ersten beiden Sätzen bin ich ganz einverstanden.

  • John Kipkoech dit :

    Der Blog-Bericht von Monsieur Parmelin ist einer der Besten die bisher gepostet wurden. Nur ist Herr Parmelin offenbar in der falschen Partei, seine Ideen könnten grüner nicht sein – was machen sie um Gottes willen bei der SVP???

    • Hanspeter Niederer dit :

      Sie sind ganz schön naiv. Dieser Mann will das Terrain für die kommende Bauern-Subventionsrunde im Parlament vorbereiten. Von grün keine Spur!

    • Hannes Walther dit :

      Der lässt nur Quatsch raus! Diese Aussagen waren bis in die 90-er Jahre des letzten Jh. der Canon der Landwirtschaft: Mehr Produktion, mehr Subventionen, etc. Die Landw. erhält seit dem 2. WK mehr als genügend Unterstützung und zwar in für alle möglichen Lebenslagen. Ein Normalsterblicher kann sich dies kaum vorstellen. Z,.B. erhalten die Landw. Oekobeiträge damit die Biodiversität verbreitert wird, was geschieht, die Beiträge erhalten Sie aber eine Verbesserung ist nicht in Sicht. Deshalb meine Meinung nur Geld bei Zielerreichung. Die Direktzahlungen sind nur alter Wein in neuen Schläuchen!

  • Hanspeter Niederer dit :

    « Dass man doch einfach kein Fleisch mehr essen soll, um alle Probleme zu lösen, ist wohl eher ein Witz. » Da wird zum Fleischkonsum eine Extrem-Position verkündet, damit man über dieses Thema nicht reden muss. Eine verlogene Strategie. Um 1 kg Fleisch « herzustellen », braucht es 16 kg Futtergetreide. Das sagt alles zum Problem Getreideknappheit. Es müssen alle Subventionen für die Landwirtschaft gestrichen werden ausser für die Pflege von ökologischen Ausgleichsflächen und grosszügigen Beiträgen für WIRKLICH artgerechte Tierhaltung in Kleinbetrieben!

    • Roman Leu dit :

      Finde ich auch. Auf 85 bis 90 Prozent schätzt Chris-Oliver Schickentanz, Experte für den globalen Getreidehandel bei der Dresdner Bank, den Anteil, den der erhöhte Fleischkonsum an den steigenden Agrarpreisen hat. Je mehr Fleisch erzeugt wird, desto mehr steigt der Bedarf an Soja und Futtergetreide wie Mais, Gerste, Hafer und Futterweizen. Um ein Kilo Fleisch « herzustellen » braucht es auch tausende Liter Wasser. Fleisch ist kein lebensnotwendiges Nahrungsmittel. Die wichtigen Aminosäuren stecken auch in pflanzlicher Kost. Erlaube mir einen Link zu Thema: welthungerdemo.de/inhalt/thema_hunge

      • Dem müsste aber gerechterweise beigefügt werden, dass beim Essen doch noch ein minimaler Freudenfaktor erhalten bleiben sollte. Leute die anderen alles unterbinden wollen, was irgenwie Spass macht im Leben, sind mir höchst verdächtig¨!

        • marius christen dit :

          Mir sind Leute verdächtig, die meinen, dass nur das, was man immer schon gemacht hat, Spass bereitet. Essen Sie wenig, dafür hochweriges Fleisch. Das schmeckt besser und Sie helfen dabei erst noch mit bei der Lösung unserer globalen und regionalen Probleme.

          • Ja sehen Sie Herr Christen,so können die Ansichten unterschiedlich sein, ich bin auch mit einem Gnagi schon sehr zufrieden, während für möglichst viele Filets halt auch viele Tiere aufgezogen werden müssen! Manchmal ist halt ein bisschen weiter zuück, im Endeffekt halt doch weiter vorne!!

        • Max Demian dit :

          Rind zum Beispiel wird als hochwertig angesehen und ist in etwa 4 mal ineffizienter als Poulet. Schwein gilt als minderwertig und ist etwa doppelt so effizient wie Rind.
          Fleisch insgesamt ist hochgradig ineffizient.

  • Max Demian dit :

    In der Tat ist die Agrarpolitik weltweit ganz oben auf der politischen Agenda. China, Saudi Arabien und andere Nationen kaufen weltweit Ländereien auf, die sie für die eigene Produktion gebrauchen wollen. Die Menschheit wird(!) mit steigendem Wohlstand (Fleischkonsum von 2Mrd Menschen), mehr zu fütterenden Mäulern und abnehmenden Ressourcen (Land und Energie) an die Wand fahren. Die Frage ist nicht wann, sondern wie. Fleischkonsum radikal einzuschränken – am besten und effektivsten per Verbot oder Verteuerung – wäre ein Weg Einhalt zu gebieten. http://www.tranquileye.com/clock/

  • Schweizer Fleisch ist im Vergleich zum angrenzenden Ausland viel zu teuer. Schweizer Bauern erhalten mehr Subventionen als jeder andere Gewerbebetreibende, trotzdem sind ihre Produkte im Vergleich zum Ausland massiv teurer. Fleisch aus den USA und Argentinien kann es bezüglich Qualität mit Schweizer Fleisch locker aufnehmen und ist trotzdem günstiger.

    • Max Demian dit :

      In der Tat, Schweizer Bauern werden neben denjenigen in Südkorea und Norwegen am meisten subventioniert. Dass eine Kuh hier mehr Geld bekommt aus die zur Zeit sterbenden Menschen in Somalia ist grotesk.
      Bei der Aufrechterhaltung der CH Landwirtschaft soll es nicht um Romantik und Goodwill gehen, sondern um eine strategische Entscheidung, quasi eine Versicherung. Wie bei allen Versicherungen kostet sie so lange, bis sie nutzt. Die Armee und Landwirtschaftsdiskussion stehen in sehr engem Zusammenhang.

    • Laura Stadler dit :

      Wenn man Schweizer Fleisch konsumiert geht es nicht in erster Linie um Qualität, sondern um LEBENSqualität. Und zwar die des Tieres. Schweizer Fleisch ist u.a. so teuer, weil bei uns der Tierschutz so hochgehalten wird.

      Im Übrigen wäre es schon ein Teil der Lösung, wenn die Menschheit deutlich weniger Fleisch konsumieren würde, wie bereits vorgerechnet wurde, ist der Verzehr von pflanzlicher Nahrung viel effizienter und trägt damit zur Milderung des Welternährungsproblems bei. Aber soooo komplex wollte Herr Parmelin dann wohl doch nicht werden.

      • Max Demian dit :

        genauso ist es, Frau Stadler. Leider wird ein bisschen guter Wille und ein bisschen Einschränken nicht reichen. Wir wissen alle, wie wir Menschen funktionieren. Wir werden erst handeln, wenn wir dazu gezwungen werden. Den Fleischkonsum auf demokratischem Weg einzuschränken halte ich für illusorisch. Also was bleibt? Lauter schlechte Alternativen und bisschen Zynismus und Fatalismus.
        « Wir haben das Glück erfunden » — sagen die letzten Menschen und blinzeln.

        • Maja dit :

          geht jetzt dieses Theater mit dem Fleisch auf die selbe Artlos wie bei den Rauchern. Die Hauptsache Moralisten können ihre Ideen den anderen aufzwingen.

          • Max Demian dit :

            Es geht überhaupt nicht um die Moral. Es geht um nicht weniger als um die nächste global Hungerkatastrophe und kriegerische Auseinandersetzungen. Ich bin ja selbst ein Carnivore. Aber schon richtig, Maja, ist, dass dieses Thema in den Köpfen der Menschen überhaupt nicht präsent ist, obwohl die Bedeutung der Thematik diejenige des Rauchens um das Unendliche übertrifft. Und das nicht etwa wegen vermeintlicher Ethik, des Gewissens oder moralischen Vorstellungen.

          • Maja dit :

            Ich nehme das Problem auch nicht wahr weil alle in meinre Familie, Verwandtschaft und Bekanntenkreis nicht jeden Tag Fleisch essen. Mehr können wir nicht tun. Hungerkatastrophen gab es schon immer und doch tun diese Länder nichts gegen die Ueberbevölkerung. Die Spekulanten in den Griff zu kriegen liegt nicht in meinen Händen.

          • Max Demian dit :

            Die Spekulaten werden höchstens einen kurzfristigen Effekt haben (weniger als 1 Jahr). Relevant sind die drei grossen Megatrends Bevölkerungswachstum, Wohlstandswachstum (und damit Fleischkonsum) und fortschreitende Ressourcenknappheit. Diese Einsicht wird Sie dazu bewegen mindestens das Problem zu erkennen – man muss ja nicht gleich euphorisch werden und das Problem lösen und kein Fleisch mehr essen. Die Erkenntnis wird aber die Grundlage für die richtige Politik sein. Fleisch essen ist hochgradig ineffizient und kurzsichtig!

      • Jürg Schwaller dit :

        « Schweizer Fleisch ist u.a. so teuer, weil bei uns der Tierschutz so hochgehalten wird » Ich hoffe, Sie meinen das ironisch ! Der CH Tierschutz beider Fleischproduktion funktioniert nur solange wie Geld in die « richtigen  » Kanäle fliesst. Die Fleichindustrie hat vom Mastbetrieb bis zur Fleischtheke sehr viel Gemeinsamkeiten mit mafiösen Organisationen.

    • Marcel dit :

      Komischerweise steht bei Fleisch aus Argentinien, Paraguay und den USA immer drauf: Kann mit Hormonen und Antibiotika angereichert sein…

  • helena heldin dit :

    angesichts der tatsache, dass milionen von menschen noch immer an hunger sterben halte ich es für verrückt, pflanzliche kalorien durch tiere zu veredeln. ein beispiel: 1kg rindfleisch braucht 700kg pflanzliche kalorien und 15’000l wasser.
    GO VEGAN, ist imfall gar nicht so schlimm wies klingt und JA, ich bin ärztlich attestiert vollkommen gesund

  • Hanspeter Niederer dit :

    Der masslose Fleischkonsum IST auf allen Ebenen das Problem ! 1. Abholzen des Regenwaldes zwecks Anbau von Soja-Kraftfutter für unsere Kühe und Mastrinder. 2. Massiver Wasserverbrauch für die « Fleischproduktion ». 3. Schlechte Futterauswertung bei der Umwandlung von Futtergetreide in Fleisch. (16 kg Getreide für 1 kg Fleisch) 4.Gewässer-Überdüngung und Grundwasser-Schädigung durch das Ausbringen von Gülle. 5. Nach wie vor tierquälerische Haltungsformen für die « Fleischlieferanten ». (doch doch, auch in der ach so « heilen » Schweizer Landwirtschaft) 6. Grosse Gesundheitsschäden. (Fleischkonsum)

    • Christian Kobel dit :

      Herr Niederer, Kein Mensch baut Soja für Futtermittel an. Soja wird einzig und allein für die Oelproduktion angebaut, weil die Oel- und Fettindustrie uns glauben machen will, dass pflanzliche Fette gesünder seien als tierische Fette. Dass Abfallprodukte der Sojaproduktion als Futtermittel verwendet werden ist nur ökonomisch und ethisch sinnvoll. Ebenso verehrend für unsere Umwelt ist der Anbau von Palmöl für die menschliche Ernährung. Da werden die Urwälder in Südostasien inklusive der Urbevölkerung und der Tierwelt vernichtet. Wer nur pflanzliche Fette konsumiert, schädigt massiv die Umwelt..

      • Hanspeter Niederer dit :

        Aus Sojabohnen entstehen 80% Tierfutter und 20 % Sojaöl. Sie galuben also, die 80% Tierfutter sind ein Nebenprodukt des Sojabohnen-Anbaus? Oder ist es eher wahrscheinlicher, dass es sich umgekehrt verhält? Ihren letzten Satz erspare ich mir, zu kommentieren…

  • Natalie dit :

    Auf Fleisch zu verzichten sollte in erster Linie aus gesundheitlichen, ethischen und ökologischen Gründen passieren – bevor wir überhaupt von Geld sprechen!
    Der Mensch braucht kein Fleisch mehr, um gesund zu sein.
    Fleisch ist ein dekadenter, perverser Luxus. Nichts anderes.
    Deswegen: Go Vegetarian/Vegan! Es ist besser. Für alle Beteiligten!

    • Max Demian dit :

      Das mag sein, Natalie. Aber nur Geld wird die Menschen bekehren. Nicht das Gewissen, bewegt die Welt (vielleicht die Ihre, aber nicht die der Masse), sondern Geld bewegt die Welt. Es sieht nicht gut aus.

    • ruth dit :

      Natalie, dann sollte auch jeder auf Lederartikel wie Schuhe, Kleider, Mäntel, Taschen, Hgieneartikel, Knochenleim u.v. mehr verzichten. Ihr Aufruf « go vegetarian » ist inkonsequent. Ein Vegetarier verzichtet zwar auf Fleisch, aber nicht tierische Erzeugnisse wie Milchprodukte, Eier, etc. Entweder ist man aus ethischen und ökologischen Gründen Veganer oder man lässt es bleiben.

      • Hanspeter Niederer dit :

        Nein, eben nicht. Vegetarier leisten einen sehr wertvollen Beitrag zur Reduzierung des Tierleids. Ihre Fundi-Position hilft den Tieren überhaupt nicht, weil die meisten Menschen sich eine vegane Lebensweise nicht vorstellen resp. nicht umsetzen können. Oder wollen Sie mit Ihrer « reinen Lehre » eigentlich nur sich selbst helfen?

        • ruth dit :

          Ich bin weder Veganerin noch Vegetarierin, sondern frisch-fröhliche Fleischkonsumentin bzw. Alles-Esserin. Vegetarier tragen überhaupt nichts zur Reduktion tierischen Leids bei. In meinen Augen sind das halbherzige Eingeständnisse und oberfaule Entschuldigungen zur Gewissensberuhigung. Heute kann man Fleischabos beim Bauern des Vertrauens kaufen und sich das ganze Jahr mit Fleisch eindecken lassen. Abgesehen davon, sieht man den Endprodukten wohl kaum an, ob es sich um gequälte oder gut gehaltene Tiere handelt, weil meist nur die Hekunft angegeben wird.

        • ruth dit :

          Und was die vegane Ernährung betrifft, ist dies heutzutage, wer es nun wirklich will, leichter denn je. Selbst für Allergiker gibt es inzwischen eine Riesenauswahl an entsprechenden Produkten. Ich empfehle Ihnen wärmstens, sich im Internet mal umzuschauen. Es gibt hunderte von Foren und Kochseiten, die sich mit dem Thema austauschen, helfen und auseinandersetzen. Es reicht nicht, nur den Fleischkonsum zu reduzieren, auch eine Milchkuh muss irgendwann zum Schlachter geführt werden, von der industriellen Verarbeitung der « Abfallprodukte » solche Tiere mal ganz abgesehen.

      • Martin dit :

        @Natalie
        Ist Ihnen schon in den Sinn gekommen, dass es viele Leute gibt, denen eine vegetarische/vegane Ernährung schlicht und einfach nicht schmeckt. Jeder vernünftige Mensch isst, was ihm schmeckt und was ihm nicht schmeckt, das isst er eben nicht. Sonst können wir uns ja gleich von Tabletten ernähren.

    • Mr. Moser dit :

      @ Natalie, mit dem Vegan/Vegtariian oder Frutarier, sind Sie auf dem falschen Geleise! Ohne Tiere ist eine öklogische Landwirtschaft nicht zu betreiben. Denn dann werden die Böden nicht gedüngt und der Ertrag der Getreideproduktion (ausser man nimmt Dünger, aber dafür braucht es Erdöl!) sinkt.
      Wenn man wirklich etwas machen will gegen den Hunger, dann sollte man sich als Schweizer fragen: Muss man wirklich Meerfisch essen? Sushi, Pizza Napoli oder Tonno, Fischstäbchen aus Dorsch, oder Crevetten?
      Sagt jemand, der Heute nach 2 Jahren LEIDER wieder Fischstächen gegessen hat!

      • Hanspeter Niederer dit :

        Komplett haltlos, Ihre Behauptung, ohne Tiere sei eine ökologische Landwirtschaft nicht zu betreiben. Es gibt nicht nur Gülle, es gibt auch Kompost. Und das mit dem Verzicht auf Meerfisch ist auch eher ein schlechter Scherz.. Schweine darf man ihr kurzes Leben lang quälen, bevor man sie ermordet, aber einen frei lebenden Hering zu fangen geht zu weit, oder wie?

        • Mr. Moser dit :

          Es sprechen drei Gründe gegen Meeresfisch: 1. Das Meer ist die Müllkippe der Welt (Giftstoffe reichern sich im Fisch an) 2. Meeresfisch muss immer in die Sbhweiz importiert werden (ökologischer Aspekt). 3. Weltweite Überfischung ( wegen Sushi ist Thunfisch gefährdet und die Überrfischung vor Somalia ist einer der Gründe für Hunger und Piraterie).
          Kompost alleine reicht nicht. Das behaupten nur militante Vegetarier! Abgesehen davon, dass alle Menschenaffen (inkl. Mensch) sich von tierischem Eiweis ernähren!

        • Christian Kobel dit :

          @Herr Niederer: Meerfische sind die einzigen Tiere, die nicht getötet werden, die einfach verrecken in den Netzen und Fischbunkern. Soviel zum Tierleid. Unersetzbare Urwäder werden wegen der Prodktion von pflanzlichen Fetten abgeholzt, nicht für die Tierproduktion. Konsumenten von pflanzlichen Fetten (sind wir zwangsweise alle) sind die grössten Umweltzerstörer. Lösungsansatz: Weniger Fleischkonsum, dafür einheimische Fleischerzeugnisse inkl Fische, ohne lange Transportwege zu einem Preis, der eine tiergerechte Produktion erlaubt. Reduktion von pflanzlichen Fetten in der Ernährung u. Kosmetik

    • Peter dit :

      Das einzig Perverse sind Ideologen wie Sie, die denken Sie hätten das Recht anderen Leuten vorzuschreiben, wie sie zu leben haben. Im Prinzip sind Sie der beste Auswanderungsgrund, den es gibt. In keinem Land der Welt wird man heute so bevormundet, wie hier in der Schweiz. Unter einem Paradies stelle ich mir was anderes vor. Und wies ja schon gesagt wurde. Für jeden Europäer, der weniger/kein Fleisch isst, gibt es in Zukunft tausende neuer Konsumenten, die dazu kommen, einfach in anderen Regionen der Welt. Ob Ihnen das passt oder nicht, ist vollkommen irrelevant und das ist gut so.

    • Pia dit :

      @Natalie
      Jetzt müssen Sie uns nur noch erklären, warum wir Ihre Ethik als Wahrheit betrachten sollen. Ich habe noch niemanden angetroffen, dessen « Ethik und Moral » (Ersatzreligion) ich hätte übernehmen wollen.

  • Max Demian dit :

    So ist es, Herr Niederer. Leider bin auch ich ein Fleischkonsument und ich konsumiere es gerne und zu viel davon. Ein Fatalist eben. Dass es gesundheitsschädigend ist glaube ich nicht, schliesslich werde ich locker 80 Jahre alt werden. Da kümmert mich doch die Gesundheit nicht. Aber der Fleischkonsum ist eines der tabuisiertesten Grundübel unserer Welt und die Tragödie ist, dass bis anhin gerade mal 1 Mrd Menschen wirklich Fleisch konsumierten. Zur Zeit kommen 2 Mrd mehr dazu. Das wird verheerend sein. Dazu noch 2Mrd mehr Mäuler zu füttern und abnehmende Ressourcen: http://www.tranquileye.com/

  • Chappuis Jean-François dit :

    Concernant la politique agricole 2014-2017, il est nécessaire comme vous le dites si bien, d’ouvrir un grand débat national de société dépassant très largement les enjeux purement agricoles!
    Sans pendre à chaque coin de rue des recettes environnementales draconiennent, afin de ne plus rien cultiver dans notre pays.
    La Suisse doit diminuer sa dépendance vis à vis de l’étranger en ayant une politique climatique cohérente gérée par des gens qui ont encore les pieds sur terre…
    Afin qu’en parallèle, notre économie soit florissante dans tous les domaines et qu’elle crée des emplois en Suisse.

  • Es ist wieder mal soweit: Diskutiert wird viel – doch zwischenzeitlich verschwinden fruchtbare Flächen zugunsten der Immobilienwirtschaft. Die Politik müsste per Notgesetz den sofortigen Stopp der Zubetonierung von wertvollem Agrarland herbeiführen und deren Spekulation verbieten. Die Bauern müssen wieder ein richtiger gesunder Wirtschaftszweig werden –
    sonst hilft nur noch Urban Farming…

  • karain meier dit :

    fleisch esse ich schon lange nicht mehr. aber was tun sollte man unbedingt. wir decken kaum mehr etwas von unserem eigenbedarf ab.

  • Alain Burky dit :

    Ich brauche nicht jeden Tag Fleisch,
    aber ein gutes Steak oder ein Cervelat lasse ich mir (evolutionaer als « Allesfresser » definiert) nicht vermiesen.
    Das ist eben wieder so eine Zeitgeist-Ideologie-Mode, auch um gewisse Literatur zu verkaufen…
    (Besser waeren Ideen um das Bevoelkerungswachstum weltweit zu stabilisieren)

    • Max Demian dit :

      Ja, dazu gehörten zum Beispiel Steueranreize für Familien abschaffen, kein Kindergeld, kein schneeballartiges Rentensystem, dass Bevölkerungswachstum voraussetzt… nicht gerade Mainstream taugliche Meinungen, oder?

      • Alain Burky dit :

        Nee.
        Mehr Bildung fuer die Kinder fuehrt laengerfristig zu kleineren Familien.
        (Ein sehr renomierter Bevoelkerungs-Forscher aus F, (Todd?) hat das belegt).
        Zu mehr Bildung gehoert automatisch Kenntnisse in der Empfaengnisverhuetung.

        • Max Demian dit :

          Ach, Herr Burky. Es gibt weltweit nur ganz wenige Ländern, die eine sinkende Bevölkerungszahl aufweisen. Auch die Schweiz wächst entgegen zahlreicher Behauptungen aus Politik und Medien munter auch ohne Immigration. Der Explosion der weltweiten Bevölkerung kann auch durch Bildung nicht Einhalt geboten werden. Zwar ist die Rate kleiner, aber nicht kleiner als null. Alle Prognosen sind eindeutig. Die Weltbevölkerung wächst und wächst. Um 2000 waren es um die 6 Milliarden. Heute sind es um die 7 Milliarden! Man stelle sich das einmal vor!!!

          • Alain Burky dit :

            Wenn man(n) linear denkt – wird die Entwicklung wohl so weitergehen.
            Aber, Systeme – sind chaotisch – und entwickeln sich – wie sie wollen .
            « Le Monde comme Volonté et comme Représentation » ist von Schopenhauer.
            Leider, unterscheidet man in der franz. Sprache nicht zw. VERNUNFT und VERSTAND.
            Aber, die Offenheit der Pariser dokumentiert « die Aphorismen » dito. von 1943.

          • Max Demian dit :

            Leider denke ich in diesem Fall nicht mal linear, sonder exponentiell. Aber sie haben schon recht, der Kollaps wird kommen und dann geht die Weltbevölkerung auch wieder zurück. Die Frage bleibt indes, ob sie verhungern wird, oder ob sie niedergemetzelt wird.

      • Was bewegt euch Vegetarier eigentlich, der ganzen Welt mitzuteilen wie eure Einstellung zum Fleisch ist? Es will euch ja niemand zwingen Fleisch zu essen! Wenn sie die Welt verbessern wollen, nur los,ihr werdet euch den Schädel einrennen. Ich behalte mir das Recht vor, in erster Linie National und erst in zweiter Linie Global zu denken. Wir haben bestimmt genug im Lande zu regeln.Die anderen Kommentare zeigen deutlich die grosse Spanne zwischen freiem Markt und subventionierten Klein-Biobetrieb.Das Bev. wachstum enttabuisieren, das halte auch ich für dringend!

        • Max Demian dit :

          Herr Bossert. Ich bin Carnivore, habe gestern ein herrlich saftiges Entrecote gegessen, am Wocheende Kalb mit Trüffel und Trockenfleich mit Brot zu Wein. Es hat vorzüglich geschmeckt!
          Sie sehen, man braucht nicht Vegetarier zu sein, um einzusehen, dass die Fleischproduktion für die westlich konsumierende Welt eines der Grundübel der Welt sind. Jaja, und ich bin durchaus einer, der Wasser predigt und Wein trinkt, denn auch ich bin, wie fast alle, nicht bereit mein Leben für den Genuss einzuschränken, auch wenn ich es besser wüsste.

          • Alles klar Max Demian, so versteht man sich schon etwas besser.Wenn nicht gleich der Spartaniker propagiert wird, kann man viel leichter über Verbesserungen nachdenken!

          • Max Demian dit :

            Die schiere Tatsache, dass auch ich Fleisch geniesse, soll aber nicht darüber hinwegtäuschen, dass es falsch ist Fleich überhaupt zu essen. Fleisch ist krass ineffizient

            Ich habe noch nicht das Gefühl, dass wir uns besser verstehen. Ich sage, der Fleischkonsum wird die Menschheit in den Abgrund treiben. Um das zu verstehen, muss man die globalen Megatrends Bevölkerungswachstum, Wohlstandswachstum und Ressourcenknappheit einander gegenüberstellen – alles in Bezug auf Nahrung und Landwirtschaft. Keiner dieser Faktoren wird global die Richtung ändern.

    • Hanspeter Niederer dit :

      « Besser waeren Ideen um das Bevoelkerungswachstum weltweit zu stabilisieren ». Das wäre ganz praktisch für Sie, das würde Sie ja nicht betreffen. Das übliche Schema eben. Zuerst die andern und dann vielleicht ich. Im übrigen ist das keine Zeitgeist-Ideologie. Es geht darum, dasszum Glück immer mehr Menschen bewusst wird, welche millionenfachen Verbrechen an Tieren verübt werden für unseren Lustgewinn.

      • Max Demian dit :

        Das mögen ja ein paar Millionen « Westler » so sehen, Herr Niederer. Nur stehen dem 2 Milliarden Asiaten entgegen, die bezüglich Tierleid nicht im Entferntesten mit unseren Vorstellungen übereinstimmen. Das ist gegenüber den Asiaten absolut wertfrei gemeint – einfach um allfälligen Rassismus- und Nazisprüchen hier zuvorzukommen.

      • Alain Burky dit :

        Bitte nicht persoenlich werden.
        Sie kennen weder mich – noch meine fam. Situation …
        (Zeitgeist? Sicher Ich habe das erste Buch dieses Schriftsteller gelesen – da ging es noch um anderes, und ich fand es gut)
        (etwas mit Safranfor?)

      • Also Herr Niederer, wenn das eine, wie sie sagen « Zeitgeistideologie » ist, sich von den Menschen abzuwenden und im Gegenzug nur mehr nach tierischem Wohl zu urteilen, dürfen Sie sich über Schwierigkeiten mit den Menschen nicht beklagen.Ein guter Mittelweg ist im Endeffekt oft wirksamer als pauschale Unterstellungen an unbekannte Personen.

      • Maja dit :

        Niederer, Wir haben den Bevölkerungszuwachs persönlich begrenzt, wird haben nur 1-2 Kinder pro Familie. Dass jetzt einfach zuwandern kann wer will von dem war nie die Rede. Ich hätte also gar nicht auf das 3. Kind verzichten müssen.
        In einem Spital auf Haiti kommen pro Monat 300-400 Kinder auf die Welt! Ich meine he – sind die blöd. Das so viele hungern müssen geht auch auf die Kappe vom Papst, der Jahrzente gegen die Pille und Kondome gewettert hat. Wahrlich nachhaltig sein Geschwätz und jetzt wurde er noch heilig gesprochen. Da muss mir keiner kommen und sagen was ich zu tun habe.

  • Rene Wetter dit :

    Wer glaubt, die Schweiz könne den Selbstversorgungsgrad wieder steigern, der irrt, denn jedes Jahr verschwindet bei uns wertvolles Ackerland; wir verbauen es. Wir müssen mit anderen Ländern zusammenarbeiten alles andere ist Illusion. Im Osten liegen riesige Kapazitäten brach. Die Ukraine könnte mit einer effizienten Landwirtschaft, das Getreide für ganz Europa anbauen, denn dort ist der Boden gut und fruchtbar.
    Die steigenden Nahrungsmittelpreise werden uns im Vergleich zur 3. Welt wenig treffen, haben dazu noch den Vorteil dass man die Subventionen runterfahren kann

    • Hanspeter Niederer dit :

      100% einverstanden. Aber wer im Ausland nur das Böse wittert, kann sich schlecht vorstellen, davon abhängig zu sein.

      • Max Demian dit :

        Ideologisch bin ich mit Ihnen beiden einverstanden, nur realpolitisch denke ich, dass wir nicht um Subventionen herumkommen.

  • Max Demian dit :

    Herr Wetter, denken Sie, Sie können der Leserschaft hier in politisch korrektem Deutsch verklickern, was eine effiziente Landwirtschaft bedeutet, um den jetzigen und den sich momentan abzeichnenden Bedarf zu stillen?

    Und übrigens, nicht nur bei uns, nimmt die Fläche ab: http://www.tranquileye.com/clock/

    • Rene Wetter dit :

      @Max Demian: Wir werden europäisch denken müssen und das wird vielen nicht schmecken. Wie gesagt wenn die länder wie Ukraine und Rumänien ihre Landwirtschaft modernisieren (Saatgut, Dünger, Maschinen) können sie ganz Europa mit Getreide versorgen. Mit der jetzigen Landwirtschaftspolitik geht das nicht, z.B. Rumänien muss wegen inkompetenter Politik sogar Gemüse einführen. Das mit den Bevölkerungswachstum haben wir was Europa angeht im Griff.
      Die Menschen haben die Arbeitsteilung gelernt, so müssen es auch die Länder tun; mit dem leider wieder aufflammenden idiotischen Nationalismus gehts nich

      • Max Demian dit :

        Genau, Sie sagen es aber noch nicht so unverblümt, wie ich es mir erhoffte. Vorbei ist die romantisierte Vorstellung von der Migros Werbung, wo der Bauer sein Bündel Korn noch einzeln auf Qualität prüft. Hin geht es – und muss es gehen – zur grossindustrialisierten, intensiven, modernisierten und technologisierten Landwirtschaft, die aus möglichst wenig Boden möglichst viel Getreide produzieren muss. Ausser, wir verzichten auf Fleisch und Bioethanol – oder auf die Fortpflanzung. Aber das werden wir nicht, daran habe ich nicht die geringsten Zweifel. http://www.tranquileye.com/clock/

      • Max Demian dit :

        @Wetter. Auch bezüglich dem « idiotischem Nationalismus » gebe ich Ihnen recht. Nur, was gilt es als Individuum zu tun? Seinen eigenen Arsch retten! Die arbeitsteilige Ideologie, welche ich im Übrigen ebenfalls teile, wird, wie die Historie zweifelsfrei aufzeigt, in Zeiten der Krise nicht eine Sekunde überleben. Russland und Argentinien haben das in 2010 bzw. 2009 wunderbar aufgezeigt. Darum, Landwirtschaftssubventionen gehören in den Verteidigungsetat für die Zeit, wo es 9Mrd Menschen gibt, 3Mrd Wohlstandsmenschen wie uns und das Erdöl durch Bioethanol ersetzt wird.

  • Gautier dit :

    Die Schweiz ist, mit der Bevölkerungsexplosion und dem Bauernsterben zu gleich, zweifellos
    auf dem einzig richtigen Weg sich selbst allmählich aus zu hungern.

  • leemann dit :

    Das Gleichgewicht Import / Export muss stimmen – die CH darf keine einseitige EU-Diktatur annehmen, welche uns schwächt.

  • werner witschi dit :

    Zitat Parmelin:
    « Die Agrarpolitik 2014-2017 wird eine landesweite Diskussion auslösen, die weit über rein landwirtschaftliche Fragen reicht. Das ist gut so und auch dringend nötig. Dass man doch einfach kein Fleisch mehr essen soll, um alle Probleme zu lösen, ist wohl eher ein Witz. »
    Ein Witz ist eher, Volksvertreter in Bern zu haben, die so digital politisieren. Die Fleischproduktion ist ein zentrales Problem, global. Niemand fordert da einen Verzicht auf Fleisch, aber eine Reduktion auf den Sonntagsbraten ist eher angesagt. 1.2 Mio Tonnen Soja wird da importiert. Das zum Thema Eigenständig.

  • André Gaufer dit :

    Protest gegen Nahrungsmittel-Spekulationen
    Spekulanten profitieren vom Handel mit Nahrungsmitteln, während die Zahl der Hungernden weltweit steigt! Die Initiative handle-fair.de protestiert dagegen!

    • Herr Gaufer, ich protestiere auch; was nützts? nichts! Obwohl die Schweiz einen weisen Herrn an der Spitze der UNO hat, es nützt nichts. Wenn man die Schuldendebatte in den USA verfolgt hat, bekommt man eine Ahnung wie diese Welt tikt.

  • Richard Pollastro dit :

    « Obwohl die Schweiz schon jetzt Weltmeisterin im Nahrungsmittel-Import ist, stützt sie weiterhin ihre zukünftige Agrarpolitik auf einer immer stärkeren Abhängigkeit vom Ausland ab. Mit anderen Worten, die Produktivität des Schweizer Agrarsektors wird unerbittlich weiter geschwächt. Dies zu Gunsten einer immer stärker geförderten Extensivierung. »

    Wäre spannend zu wissen, wie Herr Parmelin zu dieser Analyse kommt. Kernaussagen ohne Daten und Fakten sind heisse Luft.

    • Christian Kobel dit :

      @Richard Pollastro: Konsultieren Sie doch einmal die Statistik! Fakt ist , dass die landwirtschaftliche Produktion in den letzten Jahren ständig zugenommen hat, nicht abgenommen, trotz ökologischen Auflagen. Dass der Selbstversorgungsgrad abgenommen hat trifft aber auch zu (Bevölkerungszunahme). Die landwirtschaftliche Produktion ist nur bedingt von der Anzahl der Landwirte abhängig. Grössere Betriebe, die hauptamtlich und professionell geführt werden, sind für die umweltschonende und effiziente Produktion sinnvoller als die ideelle hochgejubelten Hobbybetriebe.

  • Hansli dit :

    Was haben die angeblichen Versorgungsprobleme mit unsrer Subventionswirtschaft gemeinsam? NICHTS! 2 bis 3 Bauern könnten so viel Bewirtschaften wie heute 10 Bauern. Damit kauft sich die SVP nur die Stimmen der 7 bis 8 überflüssigen Bauern und allen nachgelagerten Arbeitsstellen. Die staatliche Hängematte ist bequem! Wäre die angebliche Versorgungssicherheit wirklich das Problem, müsste die sofort die Bauzonen eingeschränkt werden. Die Agrarpolitik muss wirklich eine Diskussion auslösen. Warum betreiben wir weiterhin eine kommunistische Planwirtschaft?

    • Hansli dit :

      Zweitens: Economisuisse hat die den Selbstversorgungsgrad mit 20% angegeben! Da ist nichts zu machen und das war bereits im 2 Weltkrieg der Fall. Ohne ausländische Lebensmittel hätte es in der Schweiz damals eine Hungersnot gegeben.

      Nichts rechtfertige die absolute doppelte Abzocke der Bürger als Steuerzahler und Konsument.

  • Philipp Kästli dit :

    Hey, Extensivierung und Naturschutzmassnahmen sind reversibel. Wenn unsere Nachbarn den 2. WK nochmals nachspielen wollen, und uns ins Réduit schicken, sind die paar Buntbrachen schnell umgebrochen, wenn es denn nötig sein sollte. Und ob es Wurst oder Rösti gibt, ist dann wohl sekundär. Versorgungssicherheit ist also kein Argument gegen Ökologie in der Landwirtschaft. Was die Versorgungssicherheit UND die Oekologie aber unumkehrbar schädigt, ist die Verhäuslung und Verstrassung der Landschaft. Aber das fällt her Parmelin wohl ungern auf. Schliesslich kann man damit Geld verdienen…

  • Anh Toan dit :

    Mit Zoellen und Subventionen verunmoeglichen wir den Schwellenlaender, uns das zu verkaufen, was sie dank guenstigem Boden und guenstiger Arbeit konkurrenzfaehig herstellen koennten: Agrarprodukte. Die industrialisiereung des Agrarsektors waere die « natuerliche » Entwicklung zur Industriealisierung der Schwellenlaender. Nicht nur wir Schweizer, sondern auch EU und USA. Vielleicht haetten wir weniger Immigranten, sie koennten in einer exportorientierten Agrarwirtschaft in der Heimat ihr Auskommen finden. So muessen sie bei uns als Erntehelfer knechten. Link und Nett?

    • Max Demian dit :

      Nein, weder link noch nett, sondern wirtschaftsliberal und Ricardianer. Leider geht es bei der Landwirtschaft und eines möglichen weltweiten Kollaps der Nahrungsmittelbereitstellung um mehr als nur um ökonomische Maximalrenditen. Ist die Schweizer Landwirtschaft erstmal ruiniert, wird es Jahrzehnte brauchen, um das Wissen wieder aufzubauen. Soviel Zeit werden wir im Falle des Kollapses nicht haben. http://www.tranquileye.com/clock/

      • Neben der Landwirtschaft bitte den Tourismus nicht vergessen, der ist nähmlich der Landwirtschaft weit mehr verbunden als wie weiter oben behauptet das Militär. Zudem sind neben den rein landwirtschaftlichen Arbeitsplätze noch viele vor- und nachgeschaltete Stellen nicht zu verachten.

        • Max Demian dit :

          Sie werden vielleicht festgestellt haben, Herr Bossert, dass es mir bei diesem wichtigen (!)Thema mitnichten um Arbeitsplätze und zeitweiligen ökonomischen Wohlstand geht. Mir geht es um das nackte Überleben, und deswegen gelten hier die kompartiven Vorteile eben nicht.

          Die Ressourcenproblematik des Fleischkonsums ist nur ganz wenigen Zeitgenossen bewusst, selbst den meisten Vegetariern nicht.

          Wenn es um Gartenpflege für den Tourismus geht, dann kann das um eininges günsiger als die 4-5 Milliarden p.a. bewerkstelligt werden.

          • Max Demian, vieleicht sind wir zwei ein Beispiel dafür, dass es so schwer ist gute Lösungen zu finden in der Politik.Wir denken grob gesehen in die gleiche Richtung, ( Resourssen zum überleben der Menschheit) aber unsere Wege sind unterschiedlich.Meiner Meinung nach ist es auch für die Natur überlebensnotwendig wenn wir einen möglichst hohen Lebensstandart halten können!! Die armen Länder so wie die Schwellenländer sind ein abschreckendes Beispiel dafür, arme Menschen können keine Rücksicht mehr nehmen auf die Natur,die wird zerstört und wenn sie nichts mehr hergiebt sterben die Menschen.

          • Max Demian dit :

            Herr Bossert: das Verhältnis zwischen Natur und Mensch ist einseitig. Wir brauchen die Natur, die Natur braucht uns nicht. Und um es mit den Worten von Anh Toan zu sagen: Sie ignorieren die globale Vernetzung. Unser Konsumverhalten zu wünschebaren Preisen bedingt die Ausbeutung der Natur in anderen Gegenden der Welt. Wir haben die Schmutzarbeit nur ausgelagert.

      • Anh Toan dit :

        @Max Demian: Immerhin erkennen Sie, das nicht Alle, welche SVP Politik ablehnen, Linke sind. Leider sind Sie noch in einem Denkschema des letzten Jahrtausends gefangen, welche die globale Vernetzung ignoriert: Unsere groessten Probleme (Umweltschutz, Ressourcenverbrauch und damit auch Lebensmittelproduktion, Vewrteilungsgerechtigkeit) koennen nicht aus einer lokalen Optik geloest werden koennen. Wir denken lokal und handeln global! Um es mit Brecht zu sagen: « Stellen Sie sich vor, es sei globale Hungersnot, nur die Schweiz macht nicht mit. Dann kommt die Hungersnot zu uns. »

        • Max Demian dit :

          Danke für die Challenge. Das denke ich nicht. Beim Kollaps wird es keine globale Vernetzung mehr geben – in welchem Jahrtausend auch immer. Dann wird jeder sich selbst der Nächste sein. Ich stimme mit ihnen vollkommen überein, dass die Probleme global gelöst werden müssten. Nur, unsere politischen (demokratischen) Systeme erlauben das nicht, wie man an ‘zig Beispielen der vergangen Jahrzehnte darlegen kann.

          • Max Demian,ich halte es nach wie vor für besser, wenn wir uns auf Machbare Ziele beschränken, das aber in einer Art wo die Lebensfreude nicht einer menschenfeindlichen Diktatur weichen muss, welche den von Ihnen als schier unausweichlichen Untergang der Menschheit nur noch beschleunigen würde! Zumindest in diesem Denkschema sind wir Welten auseinander und ich möchte nicht in Ihrer Haut stecken.

          • Max Demian dit :

            So ist es, Herr Bossard. Langfristiger Pessimismus ist durchaus angebracht. Wir stehen vor lauter schlechten Alternativen. Wir werden weiterhin munter Fleisch essen und dabei unsere Ressourcen an die Wand fahren. Der Biosprit wird das ganze noch beschleunigen. Die Anzeichen für eine globale Verknappung sind seit 3 Jahren überdeutlich zu erkennen. Man denke z.B. an die Frühlingsrevolution (Tunesien: Gemüsehändler beschwerte sich über hohe Preise). China kauft Ländereien etc. Deswegen ist es strategisch ratsam, die CH Landwirtschaft zu subventionieren. Nicht wegen den Arbeitsplätzen…

  • DK dit :

    « Gleichzeitig hat die internationale Organisation für Landwirtschaft und Ernährung (FAO) berechnet, dass die weltweite Fleischproduktion jedes Jahr um 5 Tonnen ansteigen wird. »

    5 Tonnen. Na das sollte ja wirklich keine grosse Sache sein. Wo bleibt mein Steak?

  • Doreece Hadorn dit :

    Hallo Schweiz: Fleisch aus der USA ist mit „growth hormonen“ und « Antibiotiken » versehen! Wenn Sie Gesund bleiben wollen und im Alter noch ein Gedächtnis zum selbsterhalt, dann lassen Sie bitte das importierte Fleisch. Fragen Sie sich mal: « warum sind die Amerikaner so dick und krank?“ Antwort: „Growth hormon & anibiotiken“ in Fleisch und Milch!“ Diese Kühe in der US sind graunehaft brutalisiert und auch krank. Unterstützt die Kleinbauern welche noch auf natürliche weise bauern – es geht um IHRE Gesundheit! US Gemüse und Früchte sind auch voll von chemikaline und ungesund.

    • Danke Doreece Hadorn, wir versuchen ja unsere Landwirtschaft hochzuhalten und wo nötig zu verbessern. Profitdenken und meist unbegründeter Neid, gepaart mit rein persönlichen Interessen versuchen aber ständig die Bevölkerung gegeneinander aufzuwiegeln.Was sie dabei für Schäden anrichten ist ihnen völlig egal.

    • Max Demian dit :

      Sorry Frau Hadorn, ich vermute reine Polemik und versteckter, blasierter Nationalismus hinter Ihrer Aussage. Wenn sie solche Thesen in die Welt stellen, sollten Sie sie mit Daten untermauern können. Ich bin gespannt, ob Sie das können.

  • Helveticus dit :

    Die Landwirtschaftspolitik ist momentan auf dem richtigen Dampfer: Extensive Bewirtschaftung ist gut für die Artenvielfalt und gut gegen die Vergandung. Bei Bedarf kann man Flächen schnell wieder intensiv nutzen: Was wir nicht brauchen ist eine Agroindustrie, die auf Teufel komm raus unverkäufliche Berge von Erzeugnissen produziert und was wir ebenfalls nicht brauchen ist eine Schweiz die aus einer artenverarmten Widlnis und aus zwei drei Megacities rund um Genfer-, Zürichsee und Rheinknie besteht und die ihre billig produzierten Lenbensmittel aus EU und Dritter Welt importiert.

    • Hansli dit :

      Artenärmer als die heutige Schweiz kann die Wildnis gar nicht sein. Jegliche Vergandung ist punkto Natur ein Gewinn:)

      • Helveticus dit :

        Sicher wollen Sie Ihrer Liebe zur Natur Ausdruck verleihen, Hansli. Das ist eine lobenswerte Einstellung. Dennoch hat ihre Behauptung, wonach in einer Wildnis mehr Arten vorkämen als in einer durchmischten Landschaft mit extensiv genutzen Flächen und naturbelassenen Lebensräumen (sowie intensiv genutzten Gebieten), leider überhaupt keinen Bezug zur Wirklichkeit.

        • Hansli dit :

          Mir ist bewusst dass eine extensive Kulturlandschaft artenreicher wäre. Aber das haben wir nicht. Wir haben eine intensiv genutzte Kulturlandschaft. Das heisst ganz einfach: Alles wurde unter einer Gülledecke zugedeckt und mit allerlei Spritzmittel totgespritzt. Da ist jede vergandete Wiese ein Gewinn für die Natur. Die Zeit für die Rettung der Blumenwiesen ist vorbei, das haben wir verpennt. Wir haben sogar Millionen für deren Vernichtung ausgegeben.

          • Helveticus dit :

            Fahren sie mal in ein Tessiner Bergtal. Dort haben Sie Vergandung total und alles innert Rekordzeit. Von wegen arme Natur. Unterwegs können sie vielleicht die eine oder andere Alp oder (zu recht subventionerte) Berglandwirtschaft besichtigen und sich in Sachen extensive Landwirtschaft weiterbilden. Die Schweiz besteht nicht aus der Stadt Zürich und auch nicht aus Latifundienwirtschaft im Mittelland.

          • Helveticus dit :

            Nachtrag: Wenn in einfach zu bewirtschaftendem Gelände tatsächlich mal ‘ne Wiese vergandet, so entsteht daraus selten ein Streublätz oder eine Riedwiese (und auch nur wenn es finanziell alimentiert wird). In der Regel wird das Kulturland zu Wald , den man dann forstwirtschafltlich nutzt – und zwar so intensiv wie möglich

          • Hansli dit :

            Ich habe gesehen wie die schönsten Alpen « erschlossen » und damit für den Güllewagen erreichbar wurden. (oder dann wurden Pipelines gelegt) Jetzt haben wir dort eine Fettwiese wie im Mittelland. Wen da eine Fettwiese in Wald umgewandelt wird, ist das ein Gewinn für die Natur. Die einzigen richtig artenreichen Blumenwiesen werden noch von Hand gemäht. Spätestens wenn diese Idealisten weg sind, werden die letzten Blumenwiesen verganden. Da werden auch die höchsten Subventionen nichts nützte. Denn das macht keiner mehr.

          • Hansli dit :

            Der Naturschutz war zu Naiv und hat den Bauern vertraut. Beziehungsweise die Bauern haben zwar das Geld genommen, aber die Leistung – den Naturschutz, haben sie nicht erbracht. Wie sich Links-Grün so verarschen lässt, verstehe ich nicht. Da hätte / muss massiv durchgegriffen werden. Sonst werden die Bauern noch die letzten Reste der Natur zerstören. Am besten geht das durch Subventionsentzug. So entstehen automatisch nicht mehr genutzte Flächen. Auch wenn das meist Wald ist, wenigstens etwas. Abgesehen davon wäre das auch wirtschaftlich sinnvolller. Also eine Win-WIn Situation.

  • Peter Rost dit :

    Ein wirklich miserabler Bericht. Im zweiten Absatz wird erläutert , dass die Veränderung der Ernährungsgewohnheiten Schuld am Abnehmen des Getreidevorrats sei. Im dritten Teil bezeichnet er die zunehmenden hungernden Menschen als Konsequz der Instabilität der Nahrungmittelpreise. Zum Schluss als Hauptstatement erklärt er ohne jede Begründung dass er eine Verminderung des Fleischkonsum sinnlos fände. Dass dabei riesige Mengen an Getreiden gespart werden, interessiert ihn nicht. Vielleicht hat hier nur ein patriotischer Schweizer Angst um die Schnabulation seines Chlöpfers am nächsten 1. August.

  • Schneeberger dit :

    Es ist klar, dass die (neo-)liberal gesteuerte Extrem-Globalisierung der Wirtschaft den ersten (und zweiten) Sektor vernichtet, der Bundesrat ist ein armseliger Mitläufer. Die Schweiz will nur noch versichern, verwalten und anlegen… Erst die Verknappung der fossilgen Energien wird diesen Trend wieder umkehren, und es könnte sehr schmerzhaft werden. Ohne Erdöl ist die heutige Nahrungsmittelproduktion nicht annähernd aufrechzuerhalten! Die Wachstumsfetischisten wollen es nicht wahrhaben. Man lese z.B. die Studie im Auftrag der deutschen Bundeswehr, welche unter meinem Namen oben verlinkt ist.

    • Max Demian dit :

      Schneeberger, ich denke die meisten Menschen sind diesbezüglich blind und ignorant, deswegen ist das Ins-Bewusstsein-Rücken so wichtig.
      In einem Punkt widerspreche ich dem verlinkten Artikel, Erdöl wird relativ schnell ersetzt werden und zwar durch Biodiesel und elektrische Energie. Die Auswirkungen werden für die Nahrungsmittelproduktion katastrophal sein. Eine Kostprobe gab’s 2008 bei 150 Dollar pro Barrel.

      • Schneeberger dit :

        Erdöli ist schlicht unersetzlich, ausser man kann die Kernfusion nutzbar machen.
        Biodiesel ist der Beelzebub gegen den Teufel, denn Agrotreibstoffe stehen in direkter Konkurrenz zur Nahrungsmittelproduktion! Auch die Kernspaltung kanns nicht: Wenn wir uns 200 (zweihundert!) Jahre Zeit nehmen könnten, das Erdöl sukzessive zu ersetzen, müsste die Menschheit alle 6 (sechs!) Tage ein AKW der Grösse Gösgens in Betrieb nehmen! Noch ein Vergleich (dt. Landwirtschaftsamt): Wenn Deutschland nur noch Agrotreibstoffe statt Essen anbauen würde, könnte es nur 1/3 des Stroms und des Treibstoffs ersetzen…

        • Max Demian dit :

          Der Belzebub wird obsiegen, weil steuerlich begünstig, politisch gewollt. Die Infrastruktur ist ebenfalls schon vorhanden. 2008 ging ein Drittel der Maisernte in den USA in den Biodiesel. Heute feiert Mexiko und Spanien einen Transatlantikflug mit Biodiesel.

  • sepp z. dit :

    Guy Parmelin, die SVP fordert aufs neue immer wieder einen schlanken Staat, weniger Staatsausgaben, mehr Wettbewerb.
    Nur bei der Landwirtschaft, d.h. den ureigenen Klientel der SVP, gilt das Gegenteil: mehr Staat, mehr Staatsausgaben, weniger Wettbewerb.

    Was nun: mehr Planwirtschaft, staatlich diktierte Preise, oder doch lieber schlanker Staat und Eigenverantwortung der Bürger?

  • Sepp Hartmann dit :

    Man sollte einfach mal die Grösse von amerikanischen Weizenanbaugeräten mit den heimischen Traktoren vergleichen. Mit dieser Produktivität auf den Weltmarkt zu wollen ist subventionssuizidaler Wahnsinn. Ês ist nur wirtschaftlich vernünftig, dass unsere Bauern sterben, der Markt will es so.

  • Herr Hartmann, auch Grössenwahn und blindes nacheifern ist schon oft vom  » Markt  » bestraft worden.Ist Ihnen zum Beispiel bekannt dass viele der so bearbeiteten amerikanischen Böden tot sind und ausser Staubstürmen nichts mehr zu bieten haben?

    • Hansli dit :

      Blinder Markteifer versagt ab und zu. Kommunistische Planwirtschaft versagt zu 100%. Daher weg mit den Subventionen.

      • Lieber Hansli, es giebt Leute, denen man eher ungern zugesteht,dass sie wenigstens zum Teil Recht haben.Mit Ihrer Antwort ( 3.8.11 19:45h ) zeigen Sie plötzlich, dass es Ihnen nicht so sehr um die Natur, sondern mehr um die Abschaffung der Subventionen geht.Sie wissen ganz genau, dass in den meisten Bereichen unseres Lebens ohne Planen und Richtlinien alles im Chaos versinken würde, mit Kommunissmus hat das wenig gemeinsames.Die Bauern anhand von unrühmlichen Ausnahmen alle in den gleichen Topf zu werfen, ist eine Frechheit und zeugt von Unkentniss und schwachem Denkvermögen.

        • Hansli dit :

          Naturschutz ist mit gleichzeitigem Subventionsabbau zu haben. Ich bin Grundsätzlich gegen Planwirtschaft, das hat noch nirgends funktioniert. Bsp.: Die Schafe stehen nur auf der Weide um Subventionen zu generieren. Das ist ihr einziger Zweck. Da kommt der Wolf und frisst einige. Dann kommen noch mehr Subventionen dazu um die Schafe zu schützen. Dabei ginge das einfacher. Abschaffung der Subventionen und wir haben kein Probleme mehr mit dem Wolf, weil keine Schafe mehr auf der Alp sind. Das ist Naturschutz und Entlastung des Steurzahlers.

        • Hansli dit :

          Der grösste Witz der Bauernkommunisten im Parlament ist jedoch immer die unfähigsten Bauern durchzufüttern. Der Milchmarkt wird liberalisiert, einige innovative Bauern packen die Chance… Aber die Verlierer haben die grössere Lobby im Parlament und machen Druck. Verlierer sind nun die innovativen Bauern die viel investiert haben. Das vernichtet jeglichen Unternehmergeist!

  • Binggeli Jean-Charles dit :

    Je ne suis pas un écolo, mais ce qui ronge principalement les terres cultivables, ce n’est pas la protection de l’environnement, mais le bétonnage.
    Le débat de société concerne la liberté de construire des maison individuelles, des quartiers de villas, etc…
    La protection de l’environnement est plutôt un allié de l’agriculture. Que les insectes disparaissent, et vous verrez l’état de vos cultures.
    Si vous voulez préserver les terres agricoles, attaquez vous au vrai raisons. Le vrai débat est : comment réduire le coté néfaste de l’urbanisme sur l’agriculture.

  • Andres Müli dit :

    Herr Guy Parmelin, ich bin selten mit einem Vertreter der SVP auf der selben Linie (ich bin links), diesmal allerdings schon. Hinzufügen möchte ich , dass der weltweit zu niedrige Wertschöpfungsgrad für Landwirtschaftliche Produkte gegenüber Finanzwirtschaft und Dienstleistungen die Ursache für die Probleme der Bauern sind. Das kann tatsächlich irgendwann kippen, und dann wäre es schlecht wenn man alles importieren muss.

    • Hansli dit :

      Der Selbsversorgungsgrad liegt bei ca. 20% (Economisuisse). Wir importieren bereits jetzt alles.

  • Hans vom Hübel dit :

    Was ist die Aufgabe des Landwirts? Bewirtet er das Land oder bewirtschaftet er es? Der Paradigmenwechsel von Letzterem zu Ersterem hat schon längstens eingesetzt und lässt sich aufgrund der wirtschaftlichen und gesellschaftlichen Rahmenbedingungen auch mit noch so vielen Subventionen nicht aufhalten. Die SVP bedient das Bild der traditionellen, unabhängigen und idyllischen Schweiz und belügt sich und ihre Wählerschaft dabei selbst. Denn ländliche Idylle, strukturierte Landschaft, ökologischer Landbau (Direktzahlungen) ist nicht in Einklang zu bringen mit einem hohen Grad an Selbstversorgung.

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