Politique énergétique: entre rêve et réalité

En Suisse, les centrales nucléaires produisent aujourd’hui près de 40% de l’électricité consommée. Plus pour très longtemps, si l’on en croit la stratégie énergétique du Conseil fédéral: le refus absolu de la production d’énergie nucléaire devrait être une réalité d’ici 2045 au plus tard. Selon cette «stratégie», le nucléaire devrait principalement être remplacé par des énergies renouvelables telles que le solaire, l’éolien, la biomasse et la géothermie, en plus des économies réalisées grâce à une plus grande efficience énergétique.

Une démarche contestable, notamment du point de vue de la consommation d’énergie. D’après les objectifs de la Stratégie énergétique 2050, la demande en énergie prévue pour la Suisse devrait être ramenée au niveau de l’an 2000 en l’espace de 40 ans. Mais sur la seule période 2000-2012, la consommation d’énergie de la Suisse a enregistré une hausse de 12,7%. Vu ce constat, on est en droit de se demander si le «régime énergétique» prescrit par l’Etat finira par être efficace un jour. Un tour d’horizon dans d’autres pays laisse plutôt supposer le contraire. Comme le montrent les nouveaux projets de construction de l’énergie nucléaire, la soif d’énergie de nombreuses régions du globe est encore loin d’être assouvie: à travers le monde, 73 centrales nucléaires sont actuellement en cours de construction, tandis que 175 sont en phase de planification. Il y a tout juste quelques semaines, le premier ministre britannique David Cameron avait même parlé d’une «nouvelle génération de technologie nucléaire porteuse d’avenir» en vue du contrat d’investissement pour de nouvelles centrales nucléaires. En plus de la sécurité d’approvisionnement, les arguments principaux du gouvernement britannique sont la réduction des émissions de CO2 et la baisse des coûts pour le consommateur, arguments que partagent d’ailleurs l’opposition politique, le Parti travailliste, ainsi que les syndicats. La Grande-Bretagne suit donc une stratégie énergétique diamétralement opposée à celle de la Suisse.

A compter de 2019, nous serons encore plus dépendants de l’étranger en matière d’énergie, en particulier de l’électricité en provenance des centrales nucléaires françaises ou des centrales à charbon allemandes

Sans ses propres centrales nucléaires, la Suisse sera dépendante de l’étranger. Ici la centrale thermique de Boxberg, en Allemagne. (Image: Keystone)

Sans ses propres centrales nucléaires, la Suisse sera dépendante de l’étranger. Ici la centrale thermique de Boxberg, en Allemagne. (Image: Keystone)

Les opposants à l’énergie nucléaire se sont félicités de la fermeture de la centrale nucléaire de Mühleberg, annoncée récemment, notamment en qualifiant cette étape de «début de la fin du nucléaire». En vue des éventuelles conséquences de cette décision, bien des espoirs risquent néanmoins d’être déçus. Ainsi, la centrale relativement petite du site de Mühleberg produit environ 3 térawatt-heures d’électricité chaque année, ce qui couvre les besoins de près de 400 000 personnes. L’équation suivante permet de mieux se rendre compte de ces dimensions: pour remplacer l’électricité produite par ladite centrale, il faudrait plus de 700 éoliennes comparables à celles du Mont Crosin ou près de 2500 installations solaires comme celles du Stade de Suisse à Berne ou encore 20 centrales hydroélectriques telles que celle de l’Aar près de Mühleberg – et ce, dès 2019!

A compter de 2019, nous serons encore plus dépendants de l’étranger en matière d’énergie, en particulier de l’électricité en provenance des centrales nucléaires françaises ou des centrales à charbon allemandes. Du fait de l’électricité en provenance d’Allemagne, ceci représente non seulement une menace inutile pour l’environnement et le climat, mais aussi une plus grande dépendance de l’étranger, ce qui compromet la sécurité de l’approvisionnement en électricité de la Suisse.

En Suisse, les débats sur la politique énergétique sont marqués par une argumentation idéologique, des châteaux en Espagne subventionnés et une tutelle de l’Etat. Sur les plans écologique, économique et politique, ce n’est pas raisonnable. Le peuple suisse devrait pouvoir décider de l’orientation de sa politique énergétique sur la base des conséquences économiques et sociales sur le long terme. Mais la stratégie énergétique du Conseil fédéral ne prévoit rien de tel. Pourquoi pas d’ailleurs, Madame Leuthardt?

150 commentaires sur «Politique énergétique: entre rêve et réalité»

  • Christoph Bremser dit :

    Da sind sie wieder, die fremdbezahlten und konzertierten Angstmacher. Es sind die gleichen Personen, die mit Lobbyarbeit und viel Geld im Bundeshaus Einfluss nehmen und seit Jahrzehnten die neuen erneuerbaren Energien auf Sparflamme halten.Solche Machenschaften und Pfrundsicherungen erscheinen mir wie Landesverrat und müssen sofort abgestellt werden, zugunsten einer vom Ausland unabhängigen Energieversorgung für die Schweiz.

    • Hans Ernst dit :

      Dass der Ersatz des Nuklearstroms durch Alternativenergien in der Schweiz eher auf dem Prinzip Hoffnung beruht als auf Tatsachen ist unbestreitbar. Anderseits fragt sich, ob es nicht besser ist Atomstrom aus dem Ausland zu beziehen als aus der Schweiz (was wohl bei einem Ausstieg zwangsläufig gesehen wird), denn wenn es einen Unfall gibt, haben wir den Dreck wenigstens nicht / weniger hier bei uns. Es macht nämlich sehr viel aus, ob mitten in der Stadt Bern, 10 km vom Zentrum in Mühleberg etwas passiert oder 500 km weiter weg in Frankreich. Auch der Atommüll bleibt zudem im Ausland.

      • Denis dit :

        Denken Sie doch an den Westwind, Herr Ernst, der bringt uns genügend radioaktiven Regen aus Frankreich…

    • Max Hafner dit :

      Danke Christoph. Ich könnte es nicht besser formulieren.

    • Heidi Müller dit :

      Genau! Was für eine Augenwischerei!
      * Der Strom aus neuen britischen AKWs wird doppelt bis dreimal so teuer (13.5 Rp/kWh) als der gegenwärtige Grosshandelspreis (5 Rp/kWh) und wird zu diesem Wucherpreis plus Teuerung für 35 Jahre per Einspeisevergütung den Verbrauchern belastet.
      * Entsorgung: ungelöst.
      * Der Stromverbrauch der Schweiz nahm von 2006 bis 2011 nur um 2% zu – trotz stärkerer Bevölkerungszunahme (+6%) und noch stärkerem BIP-Wachstum (+15%). Der Stromverbrauch pro Kopf nahm in diesen 5 Jahren sogar um 3% ab!
      * Die Schweiz importiert und exportiert 130% der Inlandsproduktion!

    • Simon dit :

      Kein Mensch hält die erneuerbaren Energien auf Sparflame. Habe nie gelesen das jemand erneuerbare Energien verbieten will… sie schon????
      Die hohle Hand aufmachen und ohne mit der Wimper zu zucken riesige Geldmengen zu verlangen, um etwas was man Gut findet massiv zu Subentionieren, ist schlicht assozial! Ganz zu schweigen von den Personen der Mitte-Links Parteien, die dauernd mehr Geld für sogenannte Alternativenergien fordern, welcher von diesen Meinungsführern hat kein Verwaltungsratsmandat bei einer entsprechenden Firma?
      Sind alternativen sinnvoll, bedarf es keiner Subventionen!!!!!!

      • Linus dit :

        Verbieten und auf Sparflamme halten sind zwei komplett unterschiedliche Dinge. Seit Jahren liegen zigtausend Anträge für die Förderung von Solaranlagen auf dem Tisch, weil die Förderung viel zu niedrig gedeckelt ist. Die Warteliste ist mehrere Jahre lang.
        Es sind ausserdem nicht « sogenannte » Alternativenergien, sondern sie sind effektiv Alternativen, wie man in Bayern sehen kann. Nur sind die Kosteneinsparungen aus der Massenproduktion und die Forschung noch nicht genügend weit, als dass sie ohne Subventionen funktionieren könnten, obwohl wir sie bereits heute dringend brauchen.

      • André Dünner dit :

        Bedingt. Dennoch danke für ihre Meinung.

        • André Dünner dit :

          Denke da noch etwas weiter, auch wenn es hoffentlich nie geschieht, jeden Tag in Fukushima werden 300 Tonnen verseuchtes Wasser in Zylindern aufgefangen. An die 1500 wurden erstellt und sind voll. Immense Ladung ergiesst sich ins umliegende Meer, tritt aus, die Strömung trägt diese Schwade quer durch den Pazifik und strandet bei Kalifornien.

          Die Kühlung mit Borsäure kriegt es zur Zeit nicht hin, die Stäbe laufen Gefahr den Kessel zu durchtreten. Haut das Ding bis zum Betonboden durch, dann haben einige den Supergau. Dies geschah nicht mal in Tschernobyl. 4000x Hiroshimabombe. Ganz schön.

    • Ocin1 Richter dit :

      Oh ja, Lobbyist. In den deutschen Landen, ob nun BRD, Schweiz, Österreich, denkt man ja ausschliesslich nur in Lobby-Dimensionen, muss ein Gen-Defekt sein.

      Der Waldfreund ist Wald-Lobbyist und wird vom Forstamt bestochen, der Milch- und Quark-Liebhaber steht auf der Gehaltsliste der Milchindustrie, der Badefreund wird von den Baederbetrieben geschmiert, der Kinderfreund ist natuerlich Mitglied der Kindergarten-Mafia. Ach ja, wie einfach doch das Leben bei den deutsch sprechenden. Es fragt sich nur, welcher Lobby der Gutmensch angehoert und von wem der geschmiert wird ….

      • Agathe Bauer dit :

        Herrlich. Sie treffen den Nagel genau auf den Kopf. Das Argument, dass die Entscheidung letzten Endes « Atomenergie oder fossile Energie » lautet wird von der Windrädli-Lobby [sic] konsequent ignoriert. Aber wenn man keine Gegenargumente hat, packt man eben die alten Verschwörungstheorien wieder aus. Schliesslich sind die Grossen immer der Bösen, das leuchtet jedem ein und war schon in der Primarschule so.

        • André Dünner dit :

          Es geht nicht nur um Atomenergie oder was anderes. Die Frage ist doch, sind wir Technokraten dermassen Energiesüchtige Junkies? Wollen wir derart weitermachen? Können wir dies?

          Der Spass hört dort auf wo der Ernst anfängt. Wir leben schlicht am Leben vorbei und merken dies vor lauter Debatten nicht mal mehr. Lösungen existierten seit Jahrhunderten bereits und wurden mit unterschiedlichen Mitteln stillgeschwiegen, unterdrückt, versteckt, und auch zerstört.

          Lobbisten gab es seit je. Mal waren es Religiöse welche, dann Wirtschaft welche, nun Energie welche und zum Schluss einfach So welche.

    • André Dünner dit :

      Und nicht nur dies Herr Bremser

      Hätte es nicht eine Nachricht zu ein paar BRs gegeben über wirkliche Alternativen, so würden innert ein paar Jahren AKWs der Vergangenheit angehören.

      Zufälligerweise war ich derjenige welcher diese Information schrieb. Dummerweise. Nicht einmal die ETH hatte mehr als ca. fünf Worte übrig. Man ist ja im Ranking der Innovationen an erster Stelle.

      Es genügt an erster Stelle zu sein, und bereits ist das Rennen im eigentlichen Sinne Nebensache.
      Es erscheint wichtiger zu sein wo z. B. Wasser verloren geht bei leerem Wasserhahn als die Zuleitung zu füllen.

  • Fred NIederer dit :

    Der gleiche Bundesrat der bis 2045 Kernkraftwerke, die heute einen Produktionsanteil von 40% haben, mit Solar- Wind-, Biomasse und Geothermie ersetzen will, hat kürzlich velauten lassen, dass er bis 2050 mit 11 Mio Einwohnern rechnet. Sorry aber kann man so jemanden überhaupt noch ernst nehmen!

    • Marc Sommer dit :

      Da gibt es nur eins: FDP und SVP brauchen zusammen 4 Bundesratssitze. Das heisst BDP und CVP haben zusammen nur noch 1 Sitz zu gute. Also Leute, wählt BDP und CVP ab!. Danach ist die Ausstiegsstrategie nicht mehr mehrheitsfähig und der Bundesrat wird die Bewilligungen für Ersatz-AKW erteilen.

      • Max Begré dit :

        Dieser parteipolitische Hick-hack ist überhaupt nicht zielführend. Seit Jahrzehnten werden Wissenschaftler die wirklich alternative Technologien erforschten entweder Mund- oder ganz Tod gemacht. Z. Bsp: Edwin Gray, Stephen Marinov, Stan Meyers, Paul Brown, Eugene Mallove. All diese Forscher hatten brauchbare Konzepte und Lösungen, aber leider nicht für Grosskonzerne, sondern eher für dezentral orientierte Energieversorgung, was unsere Unabhängigkeit und Freiheit fördern würde. Aktuelle Beispiele mit enormem Potential sind Wasserstoff-Technologien, der E-Cat von Rossi und der Keshe-Reactor.

    • André Dünner dit :

      Nein, kann man nicht zwingend. Auch deren Berater kaum.

      Denn wursteln wir so weiter kriegen wir von einer Kraft eins auf den Deckel gebraten welcher wir kaum noch gewachsen sein werden.

      Die Natur schlägt mal zurück. Kann noch etwas weniges dauern, wirklich wenig.

      Und dann nützt nicht mal mehr eine gefüllte Bundeskasse etwas.

      Nimmt jemand nur 75% dieser WEB-Seite ernst … http://de.globometer.com/index.php … wird jedem der Ernst der Angelegenheit klar.

      Wünschenswerter Weise.

    • André Dünner dit :

      BRs sind Fachleute in ihrem Gegiet und nicht in allem auf dem Laufenden. Da steckt eine Menge Beratertätigkeit dahinter. Sind diese dies was sie von sich behaupten?

      Bundesräte sind Werbe- und Ausführungsbeauftragte. Sie vermitteln zwischen Volkswillen und Wirtschaftsinteressen.
      Das Volk ist von der Wirtschaft abhängig, genauso die Wirtschaft vom Volk dies ist (wenn auch nicht immer vom landeseigenen) sonst läuft der Karren nicht. Verlagern sich Interessen, zieht es die Wirtschaft dorthin wo die Nachfrage am grössten ist. Und diese wiederum macht sie selber. Wo ist da noch der Witz?

  • Gunnar Leinemann dit :

    Wie schön, dass endlich mal die bekennenden Atom-Freunde zu Wort kommen. Noch schöner ist es allerdings, dass diese – abgesehen von ein paar ganz verantwortungslosen Ignoranten – kaum noch jemand ernst nimmt. All die Gespenster, die der Herr Bechtold da an die Wand malt, sind Peanuts im Vergleich mit den Folgen eines Reaktorunfalls. Ausserdem gilt immer noch : Wo ein Wille ist, ist auch ein Weg! Aber gezielt diesen Willen der Bevölkerung zu torpedieren, zu Gunsten einer verantwortungslosen und unbeherrschbaren Energieform, ist schon pervers.

    • Willi Höhener dit :

      Herr Leinemann ist im letzten Jahrhundert stehen geblieben wie Frau Leuthard. Sie haben noch nie etwas von den neuen AKW gehört und schon gar nicht vom Thorium-Reaktor. Wären Sie über den neuesten Stand der Technik der Atomkraft informiert würden Sie ganz anders reden. Richtig ist, wir sollten nicht die alten AKW so lange in Betrieb halten wie möglich sondern rasch möglichst durch neue, sichere, für die Umwelt keine Gefahr bedeutende und preisgünstigen Strom liefernden AKW, wenn möglich mit dem Thorium Reaktor ersetzen. Wer den Umweltschutz ernst nimmt, ersetz den sauberen Atomstrom nicht durch schmutzige, unzuverlässige und teure erneuerbare-Energien.

      • Max Hafner dit :

        wo läuft denn ihr Thorium-Reaktor schon? Ich meine produktiv.

      • claudius röthlisberger dit :

        in england haben die planer eines neuen akw um subventionen nachgefragt, da der neue reaktor anscheinend nicht zu marktpreisen produzieren wird…

      • Peter Weber dit :

        Nach Wikipedia war der erste amerikanische zivile Kernreaktor anfangs ein Thorium-Reaktor. Der zweite kommerzielle wurde in Deutschland gebaut ( THTR-300). Laufzeit 423 Tagen, soviel zu den Fakten wegen neuester Technologie u.s.w.

        p.S Verständnisfrage: was ist ein AKW, was ein KKW?!

      • beat marti dit :

        schwerpunkt unserer realistischen aktuellen konkreten bemuehungen bleibt die reduktion des energieverschleisses.
        es geht jetzt nicht vordringlich um neue wege bei der kernenergienutzung,die an der energiebilanz letztendlich nichts ändern.

      • Max Begré dit :

        Auch Thorium-AKW’s basieren auf hochgiftigen und Jahrmillionen strahlendem Abfall. Ein einziger AKW-Gau in der Schweiz würde die Schweiz und das benachbarte Ausland für immer unbewohnbar machen. Haben Sie evt. schon eine Alternative zum wohnen, falls Sie den Gau überleben? Oder sind Sie bereit diesen Müll in ihrem Garten aufzubewahren? Nein, die Alternativen sind neue Technologien die seit Jahrzehnten unterdrückt werden. Aktuelle Beispiele sind Wasserstoff-Technologien, der E-CAT von Rossi, der Keshe-Reactor von MT Keshe. Mit diesen vorhandenen Technologien könnten wir alle AKW’s verschrotten.

        • Vieira dit :

          @ Herr Begré
          Ich muss leider Ihre falsche Aussagen vehement korrigieren. Der Thoriumzyklus produziert zwar Abfälle, aber um 1000 bis 10’000 Mal weniger als herrkömmliche AKW’s bei gleichwertiger Energiproduktion. Dazu sind die Abfälle mit einer Halbwertzeit von ca. 50-60J nach ein Paar 100J ungefährlich im Vergleich zu den aktuellen Nuklearabfall mit Halbwertzeiten im 5 bis 7-stelligen Jahrbereich. Diese Technologie wird aktuell im Norwegen, Australien, China, Indien und in den USA geforscht.

      • André Dünner dit :

        Quatsch Thoriumreaktor

        Das angereicherte Material hat eine kürzere Halbwertzeit doch dann im naturbelassenen Strahlenverhältnis etwa gleiche Halbwertzeit angesagt wie bei allem anderen.

        Wenn ich die Wahl habe eine gesunde Bratwurst in 30 Minuten zu bekommen, ziehe ich diese einer 30 Sekunden ungesunden vor.

    • André Dünner dit :

      Sie haben ja soooo Recht in ihrem letzten Satz.

      Denn zur Zeit ist diese wirklich noch unbeherrschbar. Inklusive mit Thorium Reaktoren. Dieses Zeug ist zwar in angereicherter Form die Anreicherung betreffend mit kurzfristiger Halbwertzeit abbauend als angereichertes Plutonium-/Uranzeug.

      In irgend etwas, im schlimmsten Fall untertage, entwickeln wir uns weiter. Dazu bräuchten wir saubere Energieform. Jene der CPE (CeroPointEnergy) würde kurzfristig in nächster Nähe zur Verfügung stehen. Ich weiss von einer schweizer und deutschen Version. Zwei Projekte in einem = weniger Zeit und günstiger.

  • ulswiss dit :

    Vor langer Zeit hat alt BR Ogi den Elektrizitätsverbrauch prognostiziert bis 2010. Es hat zunächst auch gestimmt, da wir in de 90er Jahren kaum Wachstum hatten. Aber nachher lagen die jährlichen Verbrauchssteigerungen deutlich über den Prognosen, weil wir auch gutes Wirtschaftswachstum hatten. Es mag schon sein, dass der Elektrizitätsverbrauch 2050 10% unter dem Niveau von heute liegen wird, kaum wegen Energieeffizienz aber wegen einer fürchterlichen Wirtschaftskrise.

    • Hermann dit :

      Diese Wirtschaftkrise hat eine gute Chance. Es ist aber auch moeglich, sehr viel Energie einzusparen mit diversen Technologien. Rechnet man mit ca. 100W pro Quadratmeter von Solarzellen geliefert, so kann ein Hausdach leicht 2.5 bis 10 kW Leistung produzieren waehrend 5 bis 8 Stunden pro Tag. Das genuegt fuer die meisten Haeuser. Wussten Sie, dass die Sonnenbestrahlung auf unserem Planet das 20’000 fache der Gesamtleistung aller Kraftwerke auf der Erde ist? Jedem technisch Bewanderten sollte klar sein, dass eine intelligent Zivilisation weder Kohle noch Atomstrom braucht.

    • André Dünner dit :

      Machen Sie sich keine Sorge wegen der Wirtschaftskrise. Da kommt was besseres.

  • Erich Meier dit :

    Vielen Dank für diesen Artikel, Herr Bechtold ! Die Machenschaften der AKW-Gegner sind in der Tat unverantwortlich, nur darauf ausgelegt, uns in Sachen Lebensstandard ins Mittelalter zurückzukatapultieren. Dass die Alternativenergien zu einer stark erhöhten Rohstoffnachfrage führen, weil die erforderlichen zusätzlichen Stromnetze sehr viel Kupfer, Alu und Stahl erfordern, wollen die AKW-Gegner hartnäckig nicht wahrhaben. Von der Landschaftsverschandelung gar nicht zu reden. Dass der Atomausstieg viel zu teuer wird, wird immer mehr Leuten klar.

    • F. Meier dit :

      Im Gegenteil werter Namensvetter: Es wird immer mehr Leuten klar das die AKWs nur « rentieren » konnten weil sie massiv vom Bund subventioniert wurden: Nicht gedeckte Risikoversicherung. Rückbau und Entsorgungsfond nach über 40 Jahren Betrieb noch lange nicht gefüllt (Ursprünglich geplant: 30 Jahre). Immer noch kein Endlager. Strom von Mühleberg kann nicht verkauft werden da zu teuer (Beim Verkauf an die Industrie macht die BKW ~2Rappen Verlust pro kWh, die Privaten zahlen drauf). GB wird keine neuen AKWs bauen da diese nur rentieren wenn der Staat einen Mindestpreis garantiert. Etc.

    • Max Hafner dit :

      Ist der Kühlturm eines AKW denn eine Landschaftsverschönerung?

      • André Dünner dit :

        Sicher schon. Oder ist eine Wohnkaserne etwa besser?

        Nur, wenn es knallt, ist es spektakulärer bei der Atomkraft. Danach aber erheblich leiser.

  • Walter Feger dit :

    Eine sehr einseitige Betrachtungsweise. Längstens ist erwiesen, dass die Schweiz den Atomstrom mit alternativen Energien ersetzen kann. Dies aber nur, wenn auch tatsächlich alles Geld, das bisher in AKWs gesteckt wurde, in Solar-, Wind- und andere Energien investiert wird.

  • marti beat dit :

    « …vor allem von französischen Kernkraftwerken und deutschen Braunkohlekraftwerken für den hiesigen Verbrauch .. ». stimmt. der menschheit wird in zukunft eine energiewende in allen bereichen von der natur aufgezwungen werden,man kann gar nicht darueber abstimmen..der schrittweise atomausstieg ist dabei nur ein teilbereich.es geht nicht nur darum, energietraeger zu ersetzen,sondern den gesamten umgang mit energie anders zu planen und organisieren.ich habe immer licht,wenn ich es brauche, und meine pc laufen auch ohne atomstrom. ohne reorganisation des gesamten lebens wird es nicht gehen.

  • jonas schärer dit :

    Wenn man denn die alternativen richtig subvebtionieren würde, wäre der strompreis beispielsweise für sonnenenergie schon lange unter dem preis pro kilowattstunde des atomstroms…. etwas undifderenziert dieser artikle.. ich empfehle « das zeitalter des weniger » zu lesen um besser informiert uu sein….

  • Thomas Jobs dit :

    Danke Herr Bechtold, dass sie den Atommüll bei sich zu Hause kagern und auch die Abbruchkosten übernehmen. Denn würden diese 2 Faktoren in den Atomstrompreis miteingerechnet, dann würden wir laut einer kürzlich veröffentlichten Studie >50 Rappen/kWh bezahlen!

    • Joe Steiger dit :

      Der Atommüll ist bereits da und die Entsorgung kostet nicht wesentlich mehr, wenn sich dieser z.B. noch verdoppeln sollte. Die Abbruchkosten fallen so oder so an, werden also umgerechnet auf die kWh günstiger, je länger ein AKW Strom produziert.

      • André Dünner dit :

        Ja … wenn. Und was ist mit dem Stundenlohn aufgerechnet auf 1 mio. Jahre? Bei dieser Geldentwertung müssen wir und auch darüber keine Sorgen mehr machen. Denn bezahlt man auf diese Zeitspanne in CHF, dann ist dieser in 250 Jahren kaum mehr was wert. Ausser als Gedenkmünze.

  • Markus Gallati dit :

    Wieder mal ein Artikel eine Atomstrombefürworter in dem das Thema Endlagerung kein Thema ist. Kein Wunder, denn um die Endlager in der Schweiz wird seit 30 Jahren gestritten und eine Lösung ist bis heute nicht in Sicht. Keine Thema ist auch, dass die Versicherungsdeckung im Schadenfall lausige 2.25 Mrd. Franken beträgt. Im Schadenfall kommen aber kosten von weit über 1000 Mrd. Franken auf ein AKW zu. Müssten die AKW’s diese Summe versichern, wären die Prämien so hoch, dass der Atomstrom unbezahlbar wäre. Also geht dann halt einfach der Staat pleite, wenn ein AKW einen Schaden hat.

  • Alex Kramer dit :

    Die sog. Strategie von BR Leuthard formuliert ja in ihrer Form keine Verpflichtung an die heutige Generation, sondern legt ein Pflichtenheft für die zukünftigen Generationen auf, welche die heutigen Probleme gefälligst lösen soll. Das ist nicht das Ei des Kolumbus, sondern jenes eines Kuckuck’s.
    Politik à la Leuthard, welche aktuelle Probleme und Fragestellungen derart weitreichend anpackt, dass sich die Grosskinder damit auseinandersetzen können, ist weder verantwortungsvoll noch zielorientiert.
    Weshalb soll man da eine vernünftige Diskussion führen, wenn es einem per se nichts angehen soll?

  • Realist dit :

    Erstaunlich Realistisch…

  • Alex Kramer dit :

    Frage an den Verfasser des Artikels:
    Als Geschäftsführer des Nuklearforums ist es in der heutigen Stimmungslage schwierig, dem Volk einen neuen Atommeiler anzudrehen, auch wenn das vermutlich Ihr Ziel sein sollte. In Ihrem Artikel werfen Sie auch nur Fragen auf, ohne darauf eine reale Antwort in nicht-nuklearer Form zu haben?
    Es muss Ihnen doch klar sein, dass die CH nach 40 Jahren Nutzung, Störungen & Unfällen in unseren Kernkraftanlagen auch von der Branche Alternativen & Endlager-Lösungen gefordert sind.
    Zu alldem dürften, als eine Ihrer Kernforderungen, diese nicht subventioniert sein?

  • Max Moser dit :

    Endlich steht einer hin und sagt was Sache ist. Natürlich weiss auch Frau Leuthard, dass sich unser Energieproblem nicht so wie von ihr verkündet lösen lässt. Doch sie ist eine Politikerin und als solche weder der Wahrheit noch dem Volk, sondern nur sich selber verpflichtet. Sie verwaltet das Problem so lange wie möglich und überlässt die Lösung ihrem Nachfolger.

  • Jürgen Baumann dit :

    Mein lieber Herr Bechtold!
    Danke für die Informationen. Meine Fragen: Wann wird ein Endlager ist Betrieb genommen? Was kostet die Endlagerung? Wie werden die Risiken der nuklearen Energieform in den Energiepreis einbezogen? Oder sind Sie der Meinung, dass eine Lebenszyklusbetrachtung (Total Cost of Ownership) hier nicht angebracht ist?

  • Welschfreundlich dit :

    Wenn man die EEG ausbremst, kommt das Herrn Beat Bechtold vom Nuklearforum Schweiz sehr gelegen. Als Vertreter dieses Forums wird Vonvornherein « schwarz » gemalt, was den Ausstieg aus der Atom-Energie angeht. Beziehen wir nicht bereits Ökostrom aus dem Ausland? Nicht verbrauchter Strom ist die beste EEG. Daran will aber niemand rütteln.

  • Peter Müller dit :

    Genau dort wo Grossbritannien ein AKW hinstellen will Hinkley Point Somerset gab es bereits 1607 einen heftigen Tsunami wo alles überschwemmt hat. Damit ist wieder einmal mehr bewiesen dass die Atomlobby nicht lernfähig ist.

  • Markus Schellenberg dit :

    Bedenklich finde ich vor Allem die Verdoppelung des Pro-Kopf-Verbrauchs von Strom seit 1970. Bei gleichem pro-Kopf-Verbrauch wie 1970 könnten wir die AKWs abstellen und hätten genügend Strom für Alle. Ohne Photovoltaik, ohne Windräder, ohne Gaskraftwerke. Um diese Energieverschwendung (und darüber hinaus noch jedes jahr etwas Wachstum) aufrecht zu erhalten, sind wir jedoch bereit grossen Volkswirtschaftlichen Schaden auf uns zu nehmen, weil man uns weis macht, dass wir sonst in die Steinzeit zurückfallen. Nicht mit mir, ich war 1970 dabei. Zwar keine Natels aber gelebt hat sichs genau so gut.

  • Markus Schellenberg dit :

    Unsere westlichen Gesellschaften und die Nachzügler aus dem Osten sind alle Energiejunkies. Wir brauchen den Stoff, sonst gehen wir drauf, meinen wir. Alles falsch: Wir gehen drauf, weil wir den Stoff in Übermass konsumieren. Nur in kurzen Aiugenblicken der Klarsicht stellen wir uns vor, auch ohne den Stoff leben zu können. Danach brauchen wir den nächsten Schuss.
    Es ist an der Zeit für den Entzug! Zwei Möglichkeiten: Rechtzeitig und mit entsprechenden Massnahmen begleitet vom Stoff loszukommen, oder via « cold turkey ». Heute haben wir sie noch, die Wahl. . . .

  • c schneider aus z dit :

    Und was ist mit der ungelösten Abfall Problematik, wo kosten massiv unterschätzt werden und eine sichere Endlagerung nicht vorhanden ist?

    • André Dünner dit :

      Wäre sie schon. Nur hat die Schweiz noch keine Raketenstartbasis wie Cape Canaveral Space Center. Sonst könnte man das Zeug ja zur Sonne schicken und es würde nicht einmal ankommen, oder auch nur eine minime Reaktion erzielen.

      Denn eine Sonnenerruption produziert ungleich viel mehr Energie als raufgeschickt würde.

      So lustig klein sind wir.

  • Martin Holzherr dit :

    Ja, warum eigentlich sollte das Volk nicht über die zukünftige Ausrichtung der Energiepolitik abstimmen könne?. Mir scheint, das « Volk » kann hier eben so vernünftige Entscheide treffen wie die Parlamentarier und die Bundesräte.

  • Roland K. Moser dit :

    Ich schreibe es gerne wieder einmal, weil es dermassen unendlich Freude bereitet, zu erleben, wie alle den Fakten ausweichen: Der Atomstrom deckt rein zufällig den Strombedarf für ca 3 Millionen Einwanderer und eingebürgerte Einwanderer.
    Und noch rein zufälliger genügen die noch verbliebenen 5 Millionen Hektaren Landwirtschaftsland auch nur für 5 Millionen.
    3 Millionen Einwanderer und eingebürgerte Einwanderer sind also in doppelter Hinsicht föörig.

    • Roland K. Moser dit :

      Korrektur: …1 Million Hektaren Landwirtschaftsland…

    • Heidi Müller dit :

      @R.K.Moser: Dann nehmen Sie doch Schaufel und Pickel und gehen Sie nach Zürich. Dort leben heute geschätzte 350’000 Menschen mehr, als die Gemeindefläche ernähren könnte. Da gibt es also jede Menge Leute davon zu überzeugen, dass sie ‘föörig’ seien, weil das Essen nicht für sie reiche und dass sie Ihretwegen z.B. nach Kanada oder Sibirien auszuwandern sollen damit Sie deren verlassene Häuser hier umpflügen können;)

  • beat zehnder dit :

    Wie unabhänig und ohne Eigenintresse schreibt wohl jemand der Geschäftsführer des Nuklearforums ist..Da schreibt jemand der Angst um seinen Job hat.sehr glaubwürdig.

  • Thomas Doebeli dit :

    Die ENDK schreibt im November 2013 u.a. Die Förderung erneuerbarer Energien muss zurückhaltend bleiben……. ENDK steht für die kantonalen Energiedirektoren.

    • André Dünner dit :

      Und schön dabei ist, die hocken nicht selber auf dem produzierten Müll. ENDK oder wie sich sich alle nennen mögen.

  • Arne Tvedt dit :

    Das ist zumindest mal mutig geschrieben, und es spricht den Kern des Problems an: die Energiewende, wie vom Bundesrat geplant ist ein Luftschloss. Wind und Sonne sind launisch, zuviel Energie zum falschen Zeitpunkt und zuwenig wenn sie tatsächlich gebraucht wird, bleibt somit die Wasserkraft und die thermische Energie, und hier sind Gaskraftweke und Kombikraftwerke (Wärme/Energie) deutlich besser bezüglich CO2 Bilanz als etwa Kohlekraftwerke (in etwa um den Faktor 3X). Wer also Nein sagt zur Atomenergie müsste logischerweise Gaskraftwerke gutheissen, im Inland nota bene.

  • Hans dit :

    Auch wenn das Risiko klein ist: Es ist existent und ein Atomunfall wie in Tschernobyl oder Fukushima würde grosse Teile des Mittellandes unbewohnbar machen und faktisch das Ende der Schweiz als funktionierendes Land bedeuten.
    Wenn man sich dieses Szenario vor Augen hält, dann ist sogar Importstrom aus Braunkohle eine geradezu vernünftige Alternative!
    Abgesehen davon: Beim Uran, beim Erdöl und unzähligen anderen Produkte sind wir genau so vom Ausland abhängig und kein Mensch regt sich auf.

  • Die Frage nach dem Selbstversorgungsgrad lässt sich natürlich auch beim Strom stellen. Im Vergleich zu anderen vielleicht wichtigeren Teilen der Versorgung beispielsweise der Ernährung, wird der Anteil des importierten Stroms an der Gesamtversorgung marginal bleiben. Wir werden im Krisenfall deshalb mit genügend Strom in der Steckdose verhungern.

  • Was im Artikel fehlt sind die Kosten der neuen Kernkraftwerke. Aus Grossbritannien liest man die garantierte Einspeisevergütung sei höher als bei deutschen Solaranlagen.

    http://www.manager-magazin.de/unternehmen/energie/edf-und-areva-bauen-atomkraftwerk-hinkley-c-in-grossbritannien-a-929090.html

  • Wir wünschen uns alle mehr Energieeffizienz und eine vermehrte Nutzung von erneuerbaren Energien. Doch irgendwelche Vorgaben für 2050 zu machen, ist unrealistische Träumerei. Nur wenn wir für alle kommenden Entwicklungen offen sind und konstruktiv kritisch gute Lösungen suchen, sind wir bereit für die schrittweise Ablösung der fossilen Brennstoffe Öl, Gas und Kohle. In http://www.ch-strategie.ch findet man eine Volksinitiative, welche einen sinnvollen, realistischen und für die grosse Mehrheit der Schweizerbevölkerung – auch für Beat Bechtold – gangbaren Weg zeigt. Wer macht mit im Initiativkomitee?

    • Peter Pfrunger dit :

      Och der Benedikt Jorns mal wieder.
      Aus Daumen hoch zu Kommentaren kann man keine Volksmeinung ableiten.
      Sie sind Fan von Atomkraftwerken. als Einzelkämpfer versucht er mit Internetseiten den Eindruck zu erwecken da stehe eine Interessengemeinschaft oder dergleichen dahinter aber er kocht ein Jahre altes Süppchen immer und immer wieder auf.
      Dreht dem RK Moser gleich in seiner Endlosschleife in der Vergangenheit.
      Das ist nicht Zielführend und einer zukunftsträchtigen Lösung nur hinderlich.
      Die Welt ohne AKWs wird kommen – bald, der Abfall wird bleiben – sehr lange und teuer.

  • B. Folda dit :

    Herkunft und Interessensbindung lassen offensichtlich nach wie vor nur die Konstruktion von Bedrohungsszenarien und absurden Behauptungen zu – in Kreisen der Atomlobby grassiert diese besondere Form gesellschaftspolitischer Erpressung in einer Weise, die nur noch aus ideologischen Scheuklappen und geradezu krankhafter Selbstbeweihraeucherung zu bestehen scheint. Das ist erbärmlich!

  • Huber Alice dit :

    ich habe einmal gehört, wenn in der Schweiz alle Dächer mit Solar- und Photovoltaik bedeckt würden, sollte das für unseren Energiebedarf reichen. Kann mir darauf jemand eine kompetente Antwort geben?

    • Ein Einfamilienhaus nach Minergiestandard kann seinen eigenen Strom- und Wärmebedarf mit Solarenergie decken, vielleicht sogar noch etwas mehr. Damit ist aber der Energiebedarf für Verkehr und Industrie noch nicht gedeckt. Bei einem Hochhaus funktioniert das auch nicht, weil bei gleicher Grundstückfläche viel mehr Wohnungen versorgt werden müssen. Deshalb ist verdichtetes Bauen ein Fehler. Eine Schweiz mit mehr als zehn Millionen Einwohnern wird ihren Energiebedarf nicht mehr selbst decken können.

    • swisscleantech berechnet für das Jahr 2020 eine Solarstromproduktion von 2.6 TWh und sieht für das Jahr 2050 ein realistisches Potenzial von 22.7 TWh.
      Die Dachfläche heute ist 400 km2. 1/3 ist für PV geeignet. Eine Fläche von 113 km2 ergibt 22.7 TWh.
      Als Vergleich hier der aktuelle Ertrag von PV in Deutschland. http://www.sma.de/unternehmen/pv-leistung-in-deutschland.html
      An schlechten Tagen erreicht DE etwa gleichviel mit PV wie die CH mit allen AKWs an guten Tagen etwa 4-5 Mal so viel – heute nicht 2019 oder 2050.

      • Caraillo Gazzo dit :

        Was das Nuklearforum auf der Seite, ist Swisscleantech auf der anderen. Nämlich eine Lobbyorganisation voller Subventionsjäger. Ihre quasi-wissenschaftliche Quelle produziert also nichts anderes als schönfärberische Szenarien – immer mit dem Ziel den eigenen Geldsäckel zu füllen.

    • Arne Tvedt dit :

      … das stimmt in gewisser weise, NUR der Grossteil der Dächer ist falsch orientiert (da fällt die Sone sehr flach oder gar nicht ein) UND Sie erhalten dann an einem sonnigen Julitag viel, viel mehr Strom als wir je verbrauchen können und an einem trüben Novembertag viel weniger als gebraucht wird. Das sind die Tücken des Schweizer Klimas. WISO ist daher eine potentielle Ergänzung, kein Ersatz für traditionelle Energieträger.

      • Wussten sie Herr Tverdt, das die kaum regelbaren Atomkraftwerke nachts Strom generieren dein niemand verbrauchen kann. deshalb hat die Axpo auch ein weiteres Pumspeicherwerk in Bau (Linthal 2015). Damit wollte sie sich eine goldene Nase verdienen indem der Gratis Nachtatomstrom aus Frankreich in teuren Tageswasserstrom verwandeln wollte. zu ihrem Pech haben sie die Entwicklung falsch eingeschätzt und verschlafen und tagsüber genau dann wenn er gebraucht wird steht massenweise PV Strom zur Verfügung. Jetzt geht die Speicherung eben etwas anders als gedacht über die Bühne und nicht so ertragsrei

  • luc farinelli dit :

    Schoenes Stueck Propaganda.

    Fuer korrekte Daten und Informationen siehe unter anderem:
    World nuclear report 2013
    Der Gepluenderte Planet (Hugo Bari, Club de Rome 2013)

    • Balsiger dit :

      Bravo dass Sie Club of Rome zitieren. Diese sagten, dass wir ab dem Jahr 2000 keine Energie (Oel) mehr hätten, die Rohstoffe erschöpft wären, die Wälder alle tot sind und die Menschen infolge Überbevölkerung am Verhungern wäre. Die meisten der damals Verantwortlichen Mitglieder d. C o R sind nicht mehr unter uns und sind glücklich, dass sie die Erkenntnis ihres damaligen Schwachsinnes nicht mit ansehen müssen.

  • Armin Bühler dit :

    Abgesehen davon, dass erneuerbare Energien günstiger sind als neue AKW und mehr Schweizer Wertschöpfung schaffen: Alleine mit den Dächern kann doppelt so viel Strom produziert werden wie mit den 5 AKW.
    Zudem gibt es noch Windenergie, Biomasse, KVA und Kleinwasserkraft ganz ohne 100% Uranimport.
    Ausserdem importiert und exportiert die Schweiz bereits seit Jahren mehr Strom als sie selbst verbraucht. Heute ist das vor allem Atom- und Kohlestrom – zukünftig kann es auch erneuerbarer Strom sein, sofern die CH-AKW-Betreiber nicht weiterhin in konventionelle Kraftwerke im Ausland investieren.

  • Michael Kiefer dit :

    Jedes einzelne ihrer Argumente lässt sich einfach widerlegen. Fakt ist: Der Endverbrauch von Strom ist in den letzten 5 Jahren konstant geblieben, neue AKWs bauen vor allem China, Russland und Indien. Die Kosten der zwei einzigen in Bau befindenden AKWs in Europa (FR und FI) explodieren, deshalb will GB für ihr neues AKW einen Einspeisetarif (KEV) einführen der höher ist als der für Solarstrom in DE (und sogar für 35 Jahre!!!!). Im Gegenzug werden erneuerbare Techlogogien immer billiger und effizienter. Zudem ist Atomkraft gefährlich und eine Lösung für das Endlager gibt es immer noch nicht…

  • Hannes Müller dit :

    Ich würde gerne nur Atomstrom beziehen, aber beim EKW geht das nicht. Die sogenannte Alternativenergie führt zu mehr Aufwand für Speicher, Leitungen, Grid-Management, und sie braucht de facto 100% backup. Sie ist also Luxus, der in der Summe zwischen 4 und 8 mal teurer ist, und ausserdem alles andere als Umweltschutz.

    • Solarenergie entlastet Leitungen und Speicher, weil sie den ungleichmässigen Verbrauch (deutlich mehr am Tag) ausgleicht.

      • Hannes Müller dit :

        Fällt der Verbrauch dort an wo die Solarzellen stehen? Der deutsche Überschuss über Mittag der zu Nullpreisen verschenkt wird spricht eine andere Sprache.

  • Armin Bühler dit :

    Abgesehen davon, dass UK in den letzten Jahren insbesondere AKW stillgelegt hat und gleichzeitig den erneuerbaren Stromanteil erhöht hat.
    Die Einspeisevergütungen für die 2 neuen AKW in UK sind doppelt so hoch wie die für Wind- und Solarenergie in Deutschland. Wobei bei diesen Einspeisevergütungen weder die Entsorgungskosten des Atommülls noch die Restrisikokosten gedeckt sind.
    Seit den 1990er Jahren hat die Atomenergie weltweit deshalb auch über 30% an Marktaneilen verloren, weil sie schlicht zu teuer ist.

  • Armin Bühler dit :

    Bayern produziert bereist heute über dreimal so viel Strom mit den Dächern wie das AKW Mühleberg.
    Das kleinere Dänemark produziert fast viermal so viel Strom mit Windenergie wie das AKW Mühleberg.
    Schade dass die ausländischen Kraftwerke der CH-AKW Betreiber zu über 98% atomar oder fossil betrieben werden, obwohl diese Energieträger ausserhalb Europa importiert werden müssen.

  • Abdel Thuma dit :

    Werter Herr Bechtold. Leider sind die Grünen und die Dame(n) im Bundesrat für rationale Argumente nicht empfänglich. Bei den einen stehen Ideologie und mangelnde Einsicht in wissenschaftliche und ökonomische Zusammenhänge, bei der/den anderen der Machterhalt vor.
    Das einzig Richtige wäre, wenn der Souverän korrigierend eingreifen und abstimmen dürfte. Da wären Überraschungen wohl wieder mal vorprogrammiert.

  • Oreg Meyer dit :

    Überraschung: Ein Atomlobbyist ist gegen den Atomausstieg! Und natürlich versucht er, den Leuten Angst um die sichere Stromversorgung zu machen. Lasst Euch nicht in die Irre führen.

  • Arthur Berini dit :

    Es ist interessant zu sehen, wie seit dem, von der Mehrheit befürworteten Atomausstieg nach der Fukushima Katastrophe, Die Atomlobby mit Millionenbeträge in die politischen und Oeffentliche Meinungsbildung investiert haben, um einen Start der Marktbildung für Alternativenergien erfolgreich zu verhindern, gezielt mit Halbwahrheiten die Meinung der Bevölkerung und der Politiker langsam gedreht haben. Heute ist die Alternative kein Thema mehr. Wieso eine Abstimmung, sie wird genauso Spielball der Mächte, die Ihre eigenen Interesse über das Wohl der Allgemeinheit Stellen.

    • André Dünner dit :

      Haben Sie, Herr Bernini, einmal nachgelesen mit was für Umsätzen bei der Energiewende gerechnet wird?
      Dies sind nur schon für Deutschland …zig Billionen Euros. Und der Rest? Na da ist doch Fukushima direkt ein Geschenk von Asien an den Rest der Welt gewesen. Wir sollten nebst der Amerika Währung und dem Euro auch noch den Yen etwas unterstützen.

      Denn was sich dadurch an Werbekosten einsparen liesse ist wohl bekannt.
      Nur, die Natur macht diese Schmutzarbeit mit der Einbindung in ein uns übergeordneten Systems gratis, dieses sogar die WEF-Teilnehmer in den Schatten stellt. Locker.

  • Werner Sugi dit :

    Herr Beat Bechtold, Danke für Ihren sehr guten und vorallem sehr realistischen
    Kommentar.
    Einer der « Seltenen », der den Puc noch sieht!

  • Willi Herrmann dit :

    Völliger Blödsinn, Herr Bechtold, lesen Sie doch bitte Zeitschriften wie die Unternehmer Zeitung oder Blickpunkt KMU und besuchen Sie die Umwelt Arena in Spreitenbach. Wir sind führend in Forschung und Entwicklung, doch die Atom-Lobby verhindert die Umsetzung öko-effizienter Technologien.
    Wir sind naiv in die Atom-Technologie gerutscht; ich empfehle Ihnen, sich bei der Nagra zu bewerben, dass das Endlager vor Ihrer Haustüre gebaut wird.

  • Roman Meier dit :

    Herr Bechtold, vielleicht erinnern Sie sich nicht, aber über die Einführung der Atomenergie hat seinerzeit auch nicht das Volk befinden können, sondern nur die männlichen Stimmbürger. Und diesen wurden mitnichten über die Gefahren der Atomenerige aufgeklärt. Meiner Meinung nach ist es sogar kriminell, Atomkraftwerke zu bewilligen, ohne zuvor ein Atommülllager gesucht und gefunden zu haben. Aber natürlich wusste man, dass man so vermutlich mit seinen Atomplänen scheitern würde. Für mich persönlich sind das nichts als kranke Gehirne, die sich eine solche lebensverachtende Technologie ausdenken.

    • André Dünner dit :

      Was heisst hier Lager? Mit den Autos und allen menschlichen Kreationen ist es sogar empfehlenswert (und glauben Sie nicht, gute Unternehmer machen dies normalerweise) zu wissen wo der Ausgang aus einem Szenarium ist.

      Japans Megacity machte, kein Auto, wenn nicht an beiden Enden der Fahrzeugnutzung ein Parkplatz besteht. Diese Japaner denken in gewisser Weise etwas weiter. Sich in Atomkraft zu verfahren ist ein wirklich heisser Lauf. Ich war sehr dankbar über diese 3D-Demonstration in einem AKW wo doch so nichts schief gehen kann.

      Glücklich die Tiere welche 17:45 ihren Schlafplatz haben.

  • Sya Ingold dit :

    und was passiert mit dem atommüll und wies steht es um risiken der produktion? nur die positiven aspekte des atomstroms zu beleuchten und mit der abhängigkeit von anderen produzenten zu argumentieren hält in keiner art und weise der nachhaltigkeitsdiskussion, um die es ja letztendlich geht, stand. zudem muss endlich mal ein umdenken im verbrauch stattfinden, da eine steigende tenz lediglich ein symptom des wirtschaftlichen fehlverhaltens geworden ist, weit entfernt von ökologischer und gesellschaftlicher vernantwortung und dies gilt es unbedingt kritisch zu hinterfragen.

  • Aschi Berner dit :

    Es geht beim A-Ausstieg um ein Riskmanagement und nicht um die notwendige Energie. Wir wollen nicht die Verwüstung des Mittellandes mit einem KKM-GAU riskieren. Menschliches Versagen ist das grösste Risiko, der Rost das Zweitgröste im KKM. Die Familien subventionieren mit 12 Rp/kWh den zu teuren Atomstrom, der 2-3 Rp./kWh unter den Erstellungskosten von 7-9 Rp./kWh (BKW) der Industrie verkauft wird. Erneuerbarer Eurostrom ist gratis oder im Mittel für 5 Rp/kWh zu erhalten. Wieso müssen wir alle Energie selber produzieren? Es genügt Speicherseen als Batterie Europas zu bauen.

  • Peter Vogt dit :

    Nun da sich Katholiken und Protestanten nicht mehr die Köpfe einschlagen, haben wir einen neuen Glaubenskrieg: für und wider Nuklearenergie. Ich bedaure eigentlich die Grünen – in welchem Gewissenskonflikt müssen sie sich finden, wenn sie sehen, dass Kohle- und Gaskraftwerke gebaut werden – Kyoto ade. Und bitte keine höheren Stauseemauern! Da bleibt uns wohl doch nur noch die 2000-Watt Gesellschaft – lass uns Socken und Pullover stricken für die kalten Tage.

  • Patrick Wespe dit :

    Vor allem die Kernkraft macht uns vom Ausland abhängig, indem wir die Energie in Form von Uran importieren und diese in einem amerikanischen Reaktor verstromen. Dass die C02 Bilanz von AKW’s auch schlechter ist als bei Wasser-, Wind oder Solarenergie wird auch gerne ignoriert. Ob nun Strom produziert, importportiert oder exportiert wird, entscheidet schlussendlich der Markt. Entgegen der Strommangelhysterie der Atomlobby wird, das KKW Mühleberg abgestellt, weil Deutschland die Strompreise zu Spitzenzeiten mit ihrem Wind und Solarstrom so runter drücken, dass sich der Betrieb nicht mehr lohnt.

  • Bea Habegger dit :

    Die Schweiz hatte nie so viele Möglichkeiten wie heute, mit den verschiedenen Energieträgern. Statt ein Seilziehen zwischen den verschiedenen Energien immerdar noch anzustacheln, wäre es angebracht, die verschiedenen Ressourcen ausgewogen zu nutzen, statt diese gegeneinander aufzuspielen.

    Ausgewogenheit statt starre Sturheit!

    Was nützt es in einer Notsituation, wenn nur eine Energiequelle bevorzugt wurde und diese aus welchen Gründen auch immer « versiegt ».

  • Wir wünschen uns alle mehr Energieeffizienz und eine vermehrte Nutzung von erneuerbaren Energien. Doch irgendwelche Vorgaben für 2050 zu machen, ist unrealistische Träumerei. Nur wenn wir für alle kommenden Entwicklungen offen sind und konstruktiv kritisch gute Lösungen suchen, sind wir bereit für die schrittweise Ablösung der fossilen Brennstoffe. Durch Anklicken meines Namens findet man eine Volksinitiative, welche einen sinnvollen, realistischen und für die grosse Mehrheit der Schweizerbevölkerung – auch für Beat Bechtold – gangbaren Weg zeigt. Wer macht mit im Initiativkomitee?

  • Hans Ursprung dit :

    Herr Bechthold, die Energiepolitik wird immer von ideologischen Argumenten geprägt sein. Ihr Pro Atomkraft Artikel ist ja auch nicht rein sachlich und neutral. Z.B. vermisse ich von Ihnen einen Vorschlag zur Endlagerung der radioaktiven Abfälle. Kein Land der Welt hat bisher eine Lösung dazu. Dann sprechen sie von einer neuen Generation von Reaktoren. Auf der Webseite des Nuklearforums wird die 4. Gen. aber noch als Zukunftsmusik beschrieben. Alle aktuell geplanten Reaktoren sind zwar sicherer als ältere aber sie verursachen immer noch gleich viele Abfälle wie die alten.

    • André Dünner dit :

      Danke Herr Ursprung

      So weit bin ich ebenfalls gekommen. Die Abfallfrage hängt an einem seidenen und durchbrennenden Faden.
      Sie ist nicht gelöst. Und Sie haben ebenfalls Recht … warum denn binnen knapp 78 Jahren scheinbarer Gewinnerwartung eine Schuld über ca. 400 Generationen generieren?

      Da hat jemand eine Rechnung ziemlich offen konstruiert.

      Danke für ihre Stellungsnahme.

  • Rolf Rothacher dit :

    Der Atomausstieg kostet uns 70 bis 100 Milliarden Franken. Die können wir uns durchaus leisten, bei 380’000 CHF Nettovermögen pro Einwohner. Fallen die Renten halt um 5 bis 8 % kleiner aus. Doch mit einer echten Energiewende hat das gar nichts zu tun, weil weiterhin 65 % unseres Verbrauchs durch Erdöl und Erdgas gedeckt werden (ganz zu schweigen von all dem Plastik und den anderen Chemie-Stoffen aus Erdöl/Erdgas). Diese zu ersetzen würde uns den Rest unseres Nettovermögens kosten. Der Bundesrat gaukelt uns bloss was vor, in dem er das geringste unserer Probleme (Atomstrom) teuer lösen will.

  • f.a. blume dit :

    — « Ab 2019 werden wir noch stärker auf Strom aus dem Ausland angewiesen sein. »
    und was ist daran so schlimm
    die CH ist heute schon vom ausland abhängig
    URAN – import für unsere AKW
    erdöl
    nahrungsmittel
    metalle
    arbeitskräfte
    usw. usf.
    .
    lieber 5 AKW in sicherer entfernung und stromimport
    als 1 AKW zur selbstversorgung in der CH
    .
    unser eigenkapital ist die bildung und forschung
    — da sollten wir investieren
    …… in erneuerbare energie
    …….. speichertechnik für solar- / windenergie
    ……….. usw.wsf.

  • F. Meier dit :

    Herr Bechtold: Weshalb unterschlagen Sie dass sich der Bau neuer AKWs in England nur dann für die AKW-Betreiber rentiert wenn die Regierung einen Mindestabnahmepreis von ca. 109 Euro/MWh plus Inflationsausgleich garantiert?
    Der AKW-Strom wird also von der Regierung subventioniert damit das AKW wirtschaftlich betrieben werden kann. Denn im Vergleich zu Solar und / oder Windstrom sind die Kosten schlicht zu hoch und nicht marktfähig. PS: Damit ist die Entsorgung noch nicht finanziert.

    • André Dünner dit :

      Und dadurch noch eine Kalkulation vom Atommüllverschmutzer Schweiz, im Ranking an Platz 2 figurierend, … wie soll die Lösung lauten? Entweder wir finden eine Energieform welche weniger kontaminierende Auswirkungen zeigt, oder wir sind gezwungen eine neue Rechnungsgrundlage zu formulieren. Energieverbrauch bis 20## steigend und ab 20## definitiv fallend. Ansonsten leben wir alle elektrifiziert und verstrahlt (wenn nicht belastet bis [keine Jahrtausendangabe]).

      Die Schwierigkeit liegt hauptsächlich nicht in der Verschmutzung an und für sich, sondern die Menge der Verschmutzer pro Kopf.

  • tommaso dit :

    Die Atom-Lobby tut immer so, als hätte sie den Realitätssinn gepachtet. Was an einer Energieform « realistisch » sein soll, die den kommenden Generationen Tausende Tonnen strahlenden Abfalls hinterlässt, ist mir ein Rätsel. Auch sind die Uranvorräte nicht unendlich, der Preis dieses Rohstoffs wird über kurz oder lang rasant steigen, die Seltenen Erden lassen grüssen… Der Umstieg auf erneuerbare Energien ist also auch aus ökonomischen Gründen eine absolute Notwendigkeit, je eher, desto besser.

  • urs dit :

    Zitat NZZ zur britischen ‘Atomoffensive’: « Die saftige Quittung in Form vertraglich festgeschriebener – und deutlich höherer – Nutzungsgebühren für die Infrastruktur wird dann den Nutzern zwei bis drei Jahrzehnte lang aufgebürdet. » Von den 150 Milliarden des englischen Steuerzahlers allein für die Sanierung Sellanfiel muss gar nicht weiter gesprochen werden… Vermutlich haben die Banken und die Landwirtschaft zusammen nicht soviel Subventionen kassiert, mit so vollen Hosen über subventioniert Lufstschlösser zu schreiben braucht schon eine ziemliche PR-Frechheit.

  • Mario David dit :

    Während in der Tagespresse über den rekordhohen CO2-Ausstoss berichtet wird, streben Bundesrat und Parlament den Atomausstieg an, ohne eine glaubwürdige Alternative auf den Tisch zu legen. Ich halte mich bis auf Weiteres an die Aussage des Umweltwissenschaftlers James Lovelock in seinem Buch ‘Gaias Rache’. James Lovelock, eine Öko-Ikone der ersten Stunde, fleht seine Freunde in der Grünen Bewegung an, ihre « querköpfigen Einwände gegen die Kernenergie fallen zu lassen », denn « nur eine sofort verfügbare Energiequelle verursacht keine globale Erwärmung, und das ist die Kernenergie. »

  • Peter Pfrunger dit :

    Soll es wirklich interessant sein von einem Lobbyisten PR-Floskeln zu lesen?

    Ich weiss, wenn wir Mühleberg 2019 abstellen wird die Schweiz untergehen, weil der schöne Atomstrom fehlt.
    Seltsamerweise ist die Schweiz diese Jahr nicht untergegangen als das drei mal so grosse Gösgen ganz ohne Vorplanung und überraschend für ca. drei Monate ausgefallen ist. Auch andere KKWs sind schon für Monate ausgefallen.

    Seltsam ist, dass Strom aus dem Ausland des Teufels gleich zu sein scheint, nicht aber das Uran aus dem Selbigen oder das Erdöl, das Erdgas, die Schokolade, die Computer, der Champagner usw.

  • Flurin S. dit :

    « subventionierten Luftschlössern » .-

    Was ist denn da tolles gemeint? Doch nicht etwa die gemeinschaftliche Versicherung für Atomunfälle…?

    Wo sich jene doch ganz Luftschloss-mässig umfassend und erst noch kostenlos für deren Nutzniesser, d.h. AKW-Betreiber, präsentiert. Ganz zufällig ist das nämlich « weder ökologisch klug, ökonomisch sinnvoll, noch ordnungspolitisch richtig. »

  • urs dit :

    aber konkret: treten Sie hier für Energieautarkie in der Schweiz ein? Falls ja, wir haben heute einen Energieimportanteil von 85% – wollen Sie uns 20-30 AKWs aufschwatzen? Oder ist für Sie nur im Elektrizitätsmarkt Autarkie sinnvoll? FAlls ja, warum? Der Strommarkt ist vermutlich der am besten funktionierende grenzüberschreitende Markt. Ausgerechnet da wollen Sie abkehren von der internationalen Verknüpfung. Setzen Sie sich für Alternativen vom russischen Gas ein, vom islamischen Öl. Und wie sähe die Energiepolitik ohne staatliche Bevormundung aus?

    • André Dünner dit :

      Wie kann jemand Energie als Besitz von jemandem benannt werden, wenn lediglich deren durch sie produzierten Waren verrechnet werden könnten und nicht die Energie selbst?

      Denn Energie gab es bereits vor der Menschheit. Durch sie wurde das Universum mit gestaltet. Und wer stellte dafür Rechnung? Wir Menschen legen uns selbst die faulen Eier durch eine verdrehte Denkweise.

  • Simon bieri dit :

    Die neue AKW-Produktionin UK soll gemäss Vorschlag der britischen Regierung einen Mindestpreis von heute 92.50 £/MWh über 35 J. erhalte, der laufend an die Teuerung angepasst wird. Das wird richtig teuer werden und ist die wohl erste Einspeisevergütung für Nicht-Erneuerbare. Die weltweite AKW-Produktion ist seit mehreren Jahre rückäufig. Es werden mehr alte Anlagen still gelegt als neu gebaut. Projekte sind v.a. Papiertiger, mehr nicht. Der Wegfall von 3 TWh/a aus dem KKW Mühleberg wird die Schweiz problemlos verkraften. Die stromtechnische Vernetzung mit Resteuropa ist hervorragend.

  • urs dit :

    Ohne staatliche Bevormundung: Vor dem Start eines AKWs (jede kleine Chemiefirma muss das auch machen): 1. Sie suchen eine Versicherung, welche Sie unbegrenzt versichert. 2. Sie suchen sich ein sicheres Endlager. 3. Sie holen den versenkten Atommüll aus dem Kanal und beseitigen ihn ordentlich – wie die Chemie das auch machen muss. 4. Sie kalkulieren den Rückbau korrekt und finden eine Lösung, wie Sie Sellafield, Tschernobyl und Fukushima gemeinsam finanzieren. Und jetzt denken Sie sich Ihre Industrie nochmals durch und dann suchen Sie sich einen anderen Job.

    • André Dünner dit :

      Ziemlich scharf analysiert und wie wahr.

      Danke. Kochen ohne Wärme geht nur im Vakuum. Einige verstehen dies immer noch nicht.

  • Hans Maag dit :

    Vor einiger Zeit tagten im CERN Kernphysiker über die Verwendung von Thorium statt Uran zum Betrieb von Kernkraftwerken. Aber in Bern ignoriert man bewusst andere, sichere Techniken der Kernenergie. Beim Thoriumreaktor z.B. muss die Kernspaltung dauernd mit einen Neutronenfluss angeregt werden, ohne diesen stellt die Kernspaltung ab. Zudem kann mit ihm radioaktiver Abfall auf eine tiefere Halbwertzeit gebracht werden, die Endlagerung wird somit weniger problmatisch. Aber unsere Oberen interessiert die Forschung wenig, produktiver ist die Bewirtschaftung der um sich greifenden Antiatomhysterie.

  • f.a. blume dit :

    schweizer AKW nein danke

    stromimport
    warum den nicht wir importieren eh schon praktisch alles
    für unsere verarbeitende industrie
    und kleider / schuhe
    nahrungsmittel
    rohstoffe
    arbeitskräfte
    edröl / -gas
    usw.usf.
    .
    die schweiz als importweltmeister

  • alfred hilty dit :

    Sonne, Wind und Biomasse sind ja nicht die einzigen Alternativen zum Atomstrom. Wenn sich mehr Menschen für die Möglichkeit der « FreienEnergie » öffnen, werden in einigen Jahren autonome Strom- und Wärmeerzeuger in jedem Haus normal sein. Schauen Sie sich doch einmal um ! Z.B. : http://www.slimlife.eu

    • André Dünner dit :

      Danke Herr Hilty

      Und es gibt noch viel mehr Freie Energie-Freunde weltweit. Da haben ein paar Gewinn orientierte Organisationen eine echte Herausforderung. Ich persönlich bin für Übergangszeiten von bis zu maximal 10 Jahren bis alte Versionen endgültig
      vom Netz gehen oder nur noch als Notfalleinheiten existieren.

  • Noch ein Tipp zum Stromsparen: LED-Lampen, vor kurzem noch teuer und leistungsschwach, haben in den letzten Monaten grosse Fortschritte gemacht. Sie sind unterdessen preislich ähnlich wie Sparlampen, sogar effizienter und bis zu mittleren Leistungen erhältlich. Also ideal für kleine Lampen, wo die Kompaktleuchtstofflampen nicht passen. Man sollte beim Kauf auf die Energieklasse achten: A+ ist besser als die bisherigen Sparlampen, A in etwa gleich.

  • Kisch dit :

    Die Energieproduktion ist ja noch das eine, aber auch die Speicherung sollte thematisiert werden. Ich hatte letztens von Lageenergiespeicher gehört, welche relativ effizient und im vergleich zu Pumpspeicherkraftwerke mehr Energie pro Volumen speichern können. Als Beispiel wurde da einfach der Erdboden angehoben.
    Betreffend Energieeffizienz, liesse sich bestimmt einiges aus Fabrikgebäuden heraus hohlen. Ich bin im Winter immer wieder überrascht wie Warm es in einfachen Wellbelchhütten werden kann wenn die Maschinen laufen im Sommer dagegen empfehle ich viel Wasser. Ab ins Fernwärme Netz damit!

  • H. Kohli dit :

    Hahahaha. Diese Lobbyisten bringen mich doch immer wieder zum lachen, und dass bereits im Lead, gratuliere: « Ein Ausstieg aus der Atomenergie ohne tatsächlich vorhandene Alternative erreicht nur eines: Eine Abhängigkeit von ausländischem Atomstrom und Strom aus Braunkohle. »
    Uhhhh, nein, wie schlimm! Unsere Autarkie geht flöten! Ja, da geh ich doch gleich in meinem Garten und pflück noch rasch die restlichen Brennstäbe vom Uran-Baum. Was bin ich froh wachst dieses Uran bei uns, nicht dass wir da noch vom Ausland abhängig werden. Und konstruieren wir so wunderschöne CH-Kraftwerke. Danke fürs LOL

  • Schneeberger dit :

    In einem hat er recht: Wenn der Verbrauch und die Anzahl Konsumenten ständig steigen, ist es kaum möglich, wegfallende Quellen zu ersetzen. Deshalb sollen links und rechts endlich einsehen, dass uns das Krebsgeschwür der Wachstumswirtschaft gegen die Wand fährt. Egal ob mit oder ohne Nuklearenergie. Die Risiken dieser unheimlichen Technologie sind zudem nicht verursachergerecht verteilbar. Allein die Suche nach Endlagern wird die Demokratie kompromittieren. Grössere Sorgen als der Ersatz der Nuklearenergie sollte uns aber der Ersatz der Fossilen Energie machen! Er ist physikalisch unmöglich.

  • D. Meier dit :

    Umso wichtiger die Alternativkraftwerke so schnell als möglich zu bauen. Bis 2019 müssen diese ans Netz!
    Eine Solaranlage auf jedes Dach oder bei Bahnlinien zwischen den Gleisen oder als Autobahnüberdachung oder Lärmschutzwand.
    Und ja, es kostet was. Aber ich bin überzeugt davon, das die nötigen Subwentionen auch nicht viel mehr Kosten verursachen als die Grippen Flugzeuge oder das Entsorgen von Nuklearabfällen.

  • Armin Bühler dit :

    Gemäss IAEA ist in diesem Jahr weltweit nicht etwa AKW-Leistung addiert worden, sondern hat sich die AKW Leistung um rund 2 AKW Mühleberg reduziert.
    Als Vergleich: Im letzten Jahr ist weltweit die Wind- und Solarleistung von etwa 200 AKW Mühleberg ans Netz geschlossen worden.

  • Die Tatsache, dass ein Wirtschaftszweig sich mit allen Mitteln zu profilieren versucht ist verständlich. Dass ein über die Milizar-mee, die Verwaltung, die Hochschulen und weitere Institutionen gespanntes Beziehungsnetz zu einem Zustand führt, den man als Or-wellsche „Big Brother“- Gesellschaft bezeichnen kann, ist meines Erachtens, bedenklich, bedauerlich, und auch auf die Dauer ge-fährlich.

  • Andreas Ryf dit :

    Tatsachen:
    Erneuerbare können Atom und Kohle ersetzen, wurde schon hundertmal vorgerechnet. Auch finanziell.
    Wind und Sonne sind nur zwei Varianten, Biomasse, Geothermie und Wasserkraft sind weitere.
    Wind und Sonne sind nicht launisch, Wettervorhersagen erlauben sehr wohl planbare Erträge.
    Wer 100% Verfügbarkeit als Masstab ansetzt, vergisst (absichtlich?) dass KEIN Kraftwerk 100% erreicht.
    Kosten für neue AKWs sind heute nicht mehr bezahlbar. Ausser man subventioniert weiter via Steurzahler.
    Es gibt keine Thoriumreaktoren. Nur Versuchsreaktoren.
    Kein Endlager, weltweit! Nach über 40 Jahren!

  • Bruno Juchli dit :

    Wenn man neue Kraftwerke baut und den Strompreis künstlich niedrig hält (Externalisierung von Kosten auf Gemeinkosten und in die Zukunft) ist es kein Wunder, dass staatlich veordnete « Stromsparkuren » nicht wirken.
    Die Externalisierung der Kosten in dieser Grössenordnung auf zukünftige Generationen ist zudem IMHO ein Schwerverbrechen.
    Mit Stromsparen (viel Effizienzsteigerung, wenig Verzicht) und Verzicht auf Nuklearabfall kann hier viel verbessert werden.
    Falls einmal KKW verfügbar werden die a) sicherer / gleich sicher sind b) wesentlich weniger lange strahlenden Abfall ergeben, bin ich dabei

  • Matthias Meier dit :

    An all die, die hier behaupten, die Schweiz sei bzgl. Uran vom Ausland abhängig: Stimmt nicht. Erstens hat Uran eine so hohe Energiedichte, dass man die Menge, die dem Verbrauch für Jahrhunderte entspricht, schon heute einkaufen könnte. Zweitens verbrauchen die heutigen Reaktoren nur einen Bruchteil des Urans – über Wiederaufbereitung oder modernere Reaktoren könnte man bis zu 100 Mal mehr Energie aus den in bestehenden Brennstäben gewinnen, dh, im « Abfall » stecken noch Jahrzehnte von möglichen Betriebsjahren! Drittens, es gibt durchaus (heute unwirtschaftliche) Uranvorkommen in der Schweiz.

  • Heidi Müller dit :

    « Aber auch die Verringerung der CO2-Emissionen sowie die Senkung der Energiekosten für die Konsumenten werden als Hauptargumente der britischen Regierung angeführt » – Diese ‘Argumente’ für die Kernkraft sind gelinde ausgedrückt ein unerhörter Hohn gegen die Tatsachen, dass der Strom aus jenen neuen AKWs doppelt bis dreimal so teuer (13.5 Rp/kWh) als der gegenwärtige Grosshandelspreis (5 Rp/kWh) ist und dass dieser Wucherpreis plus Teuerung für 35 Jahre per Einspeisevergütung den Verbrauchern belastet wird. Wohlgemerkt weiterhin ohne Abfallentsorgung und ohne richtige Haftpflichtversicherung.

  • Claudia Egger dit :

    Gut,dass sich das Nuklearforum wieder zurück meldet. Nach Fukushima haben wir ja nur noch die Propaganda, Angstmacherei und Schönfärberei der Atomgegner und « Energiewendewilligen » lesen und anhören müssen. Klar aber konnte sich jeder vernünftig denkende Mensch an 5 Fingern abzählen, dass es ohne AKWs bei uns und anderswo nicht geht. Man schaue sich das Debakel in Deutschland an. Gottsei dank geht es bei uns in der Schweiz langsamer – und hoffentlich gelingt es Ihnen und anderen der Branche den unsinnigen Entscheid unserer Bundesrätin DL zu kehren, bevor grösseres Unheil angerichtet wird.

    • André Dünner dit :

      Frau Egger

      Können Sie mir erklären worin der Unterschied besteht alles auf einmal oder Schritt um Schritt, unter Berücksichtigung von Korrekturen was zu riskieren?

      Zudem, was nützt einem die Saussison, diese ist bestrahlt und trifft auf die Nahrungskette? Da steckt aber wirklich viel Rendite mit drin. Finden Sie nicht auch? Ich sollte damit beginnen Vorwarnsisteme zu produzieren. Sie würden vermutlich kaum mehr essen wollen. Noch am 20. September 2013 feierte man den Weltkreditressourcentag. Ist dies Fortschritt?

      Na dann gut … machen wir weiter so. Sagte dies bereits vor 35 Jahren.

  • Rene Wetter dit :

    Ich finds lustig. Da schreibt ein Atomlobbyist von Subventionen. Ohne Subventionen gäbe es die ganze Atomtechnologie gar nicht.
    Die Atomwirtschaft lebt vom Prinzip Hoffung. Der Hoffnung dass die Leute schnell vergessen und man bald wieder bauen könnte. Dumm ist, dass immer wenn es soweit ist, sich wieder irgendwo ein Unfall ereignet

  • Maria Baumann dit :

    Lassen wir noch ein bis zwei Jahre vergehen. Wir werden sehen. Die Verzerrungen am E-Preismarkt werden sich erst mal so weiter entwickeln. Die regenerativen Stromproduktionsformen werden sich weiter kannibalisieren: Schweizerischer Wasserstrom wird durch deutschen Solarstrom unwirtschaftlich. Die Regenerativler sägen sich zur Zeit den Ast ab, auf dem sie sitzen. Speicher sind in weitester Ferne. Die Wirtschaft wird eher nicht stärker. Das deutsche EEG ist kein Modell mehr und so wird in der CH wird das KEV nie mehr dieses Ausmass erreichen. Solarstrom wird deshalb hier nie rentieren.

    • Beat dit :

      Fr. Baumann, eines ist richtig, das KEV wird hier nie so ausgebaut werden wie das EEG in D. Wieso? Weil es gar nicht nötig ist. Sie vergessen etwas: Die Besitzer kleiner dezentraler Anlagen zur Energiegewinnung, die einen massvollen Anteil dieser Energie selbst verbrauchen, können in ganz anderen Zeiträumen rechnen als ein Unternehmen das um Investoren buhlt. Während im Home – Bereich bei einer Payback Zeit von 15 Jahren von einer guten Investition gesprochen wird, rümpfen die Unternehmen ab 3 Jahren die Nase. Entscheidend ist, DASS es überhaupt je Payback gibt, und das gibt es! PV rentiert!

  • Stefan Balz dit :

    Danke Herr Beat Bechtold, endlich mal wieder eine Stimme PRO Nuklear. Wird auch langsam Zeit. Nur noch mehr AKW’s schaffen uns längerfristig Unabhängigkeit. Schliesslich schaffen die Uranmienen im Wallis und die Lager der radioaktiven Abfälle an der Langstrasse auch viele Arbeitsplätze. Zudem ist die ganze Technik ja bekanntermassen absolut Sicher.

  • alex keller dit :

    « Ein AKW abzuschalten, bevor Alternativen bestehen, ist Unsinn. » – Nun, dem stimme ich zu. Allerdings haben wir ja Alternativen genug und somit erübrigt sich das. Wenn etwas fehlt, dann ist es Umsetzungswille und die Bereitschaft, dass gewünsche Veränderungen auch mal dazu führen, dass man sich das Moos hinter den Ohren wegkratzen muss.

  • Dennis S. dit :

    Der Herr Autor macht’s richtig. Er verteilt und nutzt das P+R Konto der AKW Bewegung Schweiz. Jedes Jahr ist sein Kässeli noch mehr gefüllt, denn die « dummen Schwiizer » müssen aktiv kommunikativ bearbeitet werden. Die AKW Bewegung Schweiz gehört aber zu 70% dem Staat, Kantonen und Gemeinden. Sie ist verschuldet bei den hiesigen Kantonal- und Grossbanken.
    Wir – die « dummen Schwiizer » – sind in Geiselhaft:
    1. Wir beenden die AKW-Stromproduktion per Gesetz
    2. Axpo und Co machen Konkurs – Vermögen der Kantone weg, Banken fast Konkurs
    3. Der Rückbau – ohne Endlagerung – wird 5×1.5+ Mia. kosten.

  • Dennis S. dit :

    @ Hans Ernst sagt: 4 Dezember 2013 um 12:41
    Ich bin der Meinung, dass das die beste Lösung währe. Z.B. 30 Jahre Stromdeal mit Frankreich für Atomstrom – unter der Bedingung des Abkaufs der AKW-Reaktoren in der Schweiz samt Belegschaft, Übernahme des bisherigen und künftigen Atommülls der AKWs und Verpflichtung zur Äufnung des AKW-Stilllegungsfonds.
    Nur – selbst der französische Atomkonzern Areva – nehme ich an – wird diesem Deal nicht zustimmen.

  • Alex Baur dit :

    Und vielleicht könnten wir bei dieser Gelegenheit noch daran erinnern, dass die meiste Zeit (vor allem im Winter, wenn wir am meisten Strom brauchen) die Sonne höchstenst schwach scheint, und dass auch beim Wind die Produktionsschwankungen (sofern er überhaupt bläst) enorm sind – dass wir aber den Strom brauchen, wenn wir ihn brauchen.

  • André Dünner dit :

    Ganz einfach …

    Es gäbe zwar Systeme die funktionieren könnten, diese nicht in ein Wirtschaftsmodell aufgenommen werden können weil damit kein Profit rauszuholen ist.

    Und genau damit tritt sich das intelligenteste (jedenfalls wird dies behauptet) Lebewesen selber in den Allerwertesten.

    Schlau nicht? Ist wie beim Essen eben. Wo mehr reingeht als raus, da wird man fett.

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